Boeckx, comme Teodorczyk, "n'aime pas les journalistes"
Photo: © photonews
Qui l'aurait cru ? Frank Boeckx est passé de troisième couteau à gardien numéro 1 à Anderlecht. Frank The Tank, comme on l'appelle, fait maintenant l'unanimité. Dans une interview, il s'est confié sur plusieurs sujets dont l'ambiance dans le vestiaire anderlechtois.
Dans une longue interview accordée à la RTBF, Frank Boeckx a expliqué comment il s'est imposé dans les cages d'Anderlecht. "Ma force est dans la concentration et le coaching, on me demande de commander la défense. À Anderlecht, un gardien doit avoir le focus, car en principe il n’a que peu l’occasion de s’illustrer. J’aime avoir un rôle proactif et jouer haut : je préfère une interception loin de mon but qu’un arrêt-réflexe sur la ligne, j’ai l’impression alors de faire corps avec l’équipe."
Il revient ensuite sur son arrivée chez les Mauves où il a découvert une vraie famille. "J’ai trouvé un club très familial, je m’attendais à entrer dans une usine avec des divas n’aimant pas s’entraîner. Le vestiaire est soudé, je m’entends bien avec Deschacht avec qui je fais la route depuis Gand, je parle Espagnol avec Ruben et Capel… et je suis aussi copain avec Teodorczyk, qui est un type charmant contrairement à l’image qu’il donne. D’ailleurs, moi comme lui, je n’aime pas les journalistes !" rigole-t-il.
Boeckx explique ensuite qu'il n'aurait pas pu signer en Chine. "J’ai besoin d’être proche de ma famille et de mes amis. Même si c’est vrai qu’avec l’argent de Witsel, moi je pourrais amener tout le monde vivre en Chine ! (rire)"
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