Axel Witsel évoque la Chine, sans fard : "Je ne vois pas le problème..."

Axel Witsel évoque la Chine, sans fard : "Je ne vois pas le problème..."

Axel Witsel n'a pas pu échapper aux questions concernant le championnat chinois, ce mardi en zone mixte à Tubize. Et il y a répondu en toute décontraction et en toute franchise.

La non-sélection d'un Radja Nainggolan demi-finaliste de la Ligue des Champions a naturellement ramené sur le tapis les sempiternelles remarques sur Axel Witsel qui évolue lui en Chine. Un championnat trop faible pour le niveau international? "Je ne suis pas d'accord", affirme Witsel. "Si ces questions m'étonnent? C'est surtout que c'est saoulant d'entendre toujours les mêmes questions alors que je ne suis pas le seul dans ce cas", souligne le médian du Tianjin Quanjian. 

"Javier Mascherano y sera avec l'Argentine, Renato Augusto avec le Brésil... il y avait Paulinho avant eux, qui n'a jamais cessé d'être appelé non plus", énumère Witsel. "C'est clair, ce n'est pas l'Angleterre, l'Italie ou l'Espagne. Mais à partir du moment où tu te donnes à fond et que ton sélectionneur est content de toi, je ne vois pas où est le problème". 

Axel reconnaît tout de même la nécessité de travailler de manière plus intensive que les autres Diables. "Je dois travailler après les entraînements pour récupérer le rythme que les matchs de championnat chinois ne me donnent pas forcément. Et dès que j'arrive ici, je bosse plus que les autres pour rattraper ce déficit", explique-t-il. "Mais à partir du moment où je fais ça, où est le problème?". 

L'arrivée de Carrasco, un soulagement? 

Witsel n'est désormais plus le seul Diable à évoluer dans l'Empire du Milieu : Yannick Carrasco l'a rejoint. "C'est toujours agréable d'avoir un coéquipier en sélection au sein du même championnat", se réjouit le joueur. "Si nous avons parlé? Je lui ai dit de ne pas faire attention à ce que les gens pourraient dire sur son transfert, de se contenter de bosser. Je l'ai aussi aidé un peu à son arrivée, notamment pour acheter une maison. C'est clair que ce n'est pas évident quand vous débarquez, c'est une autre culture, une autre mentalité. Mais on voit que depuis quelques semaines, il est bien". 

Corrigeer
Une erreur dans l'article ci-dessus? Annoncez le ici!

Inscrivez-vous maintenant à la newsletter de Walfoot

Plus de news

Plus de news