Bakkali: "Anderlecht était aussi une option"

Alors que le PSV n'en voulait plus, Valence a pris le pari de le recruter pour le reconstruire. "Mentalement, mes derniers mois au PSV étaient très compliqué", a déclaré Bakkali à Sport/Voetbalmagazine. "Ensuite, ce fût également compliqué de faire le bon choix. D'abord je voulais jouer dans un club proche de ma famille. En France ou en Allemagne. Anderlecht était aussi une option. Mais finalement nous avons opté pour l'Espagne".

Valence était mon premier choix

Un choix qui s'est avéré judicieux pour l'ancien produit liégeois, passé au RFC Liège entre 2003 et 2005 et au Standard de Liège entre 2005 et 2008 avant de rejoindre le PSV Eindhoven. "Valence était mon premier choix", admet-il. "Tout le monde peut me donner des conseils mais au final, c'est mon choix personnel qui compte. Je ne suis pas le genre de mec qui écoute beaucoup l'avis des gens".

"Si tu commences à écouter à gauche et à droite, tu risque de te perdre. J'écoute Lucien (Luciano D'Onofrio, nldr.), Marc (Wilmots, ndlr.), ... S'ils pensent que quelque chose est bien pour moi alors on le fait'.

Je ne me voyais pas en Angleterre à mon âge

Mar Wilmots lui aurait-il donc conseillé le FC Valence ? "Conseiller c'est beaucoup dire, mais il a trouvé que Valence était un bon club pour moi. Il trouvait que le football espagnol serait le mieux pour mon évolution. Je ne me voyais pas évoluer en Angleterre à mon âge. En Espagne j'ai encore le temps de pouvoir contrôler le ballon", a fini Bakkali.