Ces Belges qui goûtent à l’Asie

Julien Denoël
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Ces Belges qui goûtent à l’Asie
Photo: © SC

Après la Norvège, Marvin Ogunjimi continue son tour du monde. L’ancien Diable rouge a signé en Corée du Sud. Il n’est pourtant pas le premier Belge à découvrir cette partie du monde. Et probablement pas le dernier non plus.

L’Asie sera-t-elle le futur eldorado du foot mondial ? Les millions y pleuvent comme jamais et les clubs, notamment chinois, peuvent s’offrir tout ou presque. Si Benteke a refusé une offre mirobolante de l’Empire du Milieu, Marvin Ogunjimi n’a pas dit non au championnat sud-coréen.

Kevin Oris – Corée du Sud et Chine

En janvier 2012, Kevin Oris, alors actif en D2 avec l’Antwerp, surprend tout le monde et s’engage en Corée du Sud avec Daejeon Citizen. Un an plus tard, il signera avec un autre club coréen : Jeonbuk. Il n’y restera qu’un an avant de partir en Chine à Liaoning Yuandong. En Corée, le natif de Turnhout tournait à une belle moyenne de 1 but tous les 2 matchs.

Xavier Chen – Chine

Un an après Kevin Oris, c’est Xavier Chen qui tente l’aventure asiatique. Le Belgo-taiwanais se rapproche des racines de son grand-père et signe à Guizhou Renhe. Il y jouera de 2013 à 2015 avant de faire son retour à Malines. Là-bas, le joueur aura acquis le statut de star dans une région… ennuyante. Il aura également pu goûter aux joies de l’équipe nationale de Taïwan.

Kristof Van Hout et Wim Raymakers – Inde

A l’été 2014, libres de contrat, les deux Belges signent finalement en Inde dans le nouveau championnat local remplis de stars sur le déclin, l’Indian Super League. Un petit contrat jusque décembre qui leur permet de découvrir un nouveau pays, une nouvelle culture.

Lorenzo Staelens – Japon

Il est probablement le premier Belge à avoir poussé si loin. En 2001, Lorenzo Staelens quitte Anderlecht et part tenter l’aventure nippone en D2 avec le club de Oita Trinita. Une saison exotique pour terminer sa carrière à 37 ans.

Emile Mpenza – Qatar

En 2006, il n’a que 28 ans mais n’en a rien à foutre. Emile Mpenza flingue sa carrière et part au Qatar en signant avec Al Rayyan. De l’argent, du soleil, et quelques buts. Mais E1000 rebondira quand même à Manchester City après ça. Bon, à l’époque, les Citizens ne sont pas encore les monstres de maintenant.

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