Weiler accepte les critiques et y répond

Johan Walckiers
Johan Walckiers depuis Anderlecht
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Weiler accepte les critiques et y répond
Photo: © photonews

Le réveil a du être difficile à Neerpede ce matin. En ouvrant les journaux, certains ont du tomber de leur siège en voyant les critiques au sujet de René Weiler. L'entraîneur a tenu à réagir aux nombreuses attaques à son égard.

Beaucoup de critiques sont tombés sur René Weiler ces derniers jours. Le Suisse a tenu à réagir avant la rencontre face à Mayence. "Je n'ai pas été étonné de la critique. Tout le monde a été déçu après Waasland-Beveren, à propos du résultat et de la manière. Mais tout ce que je peux dire, c'est qu'on ne peut pas changer le résultat" commence-t-il.

Les anciens joueurs ne sont pas aux entraînements et ne connaissent pas les détails.

Quelques grandes figures Mauves n'ont pas été tendres avec René Weiler. "Oui et je dois l'accepter. Ça fait partie du football. Mais ces anciens joueurs ne sont pas aux entraînement et ne connaissent pas tous les détails. Mais ils ont une opinion. En tant qu'entraîneur, je dois l'accepter."

Mais est-il conscient qu'en parlant de l'histoire et de la tradition, il a peut-être été trop loin ? "Je n'ai pas dit que la tradition anderlechtoise n'était pas belle. Au contraire, je suis fier de faire partie d'un club avec un nom aussi prestigieux. Je voulais simplement dire que nous étions en 2016 et que nous devions aujourd'hui écrire notre propre histoire. Ce n'est pas en comptant sur notre tradition qu'on pourra gagner des matches" s'est-il défendu.

Nous devons revenir aux bases

Contre Mayence, il va falloir faire beaucoup mieux que à Beveren, René Weiler en est bien conscient. "Nous devons changer beaucoup de choses mais surtout la mentalité. Je ne peux pas garantir qu'on va faire un grand match contre Mayence mais je veux voir de l'engagement. Nous devons gagner les duels, nous devons nous battre. Nous devons revenir aux bases du football. Et si nous pouvons lancer de belles attaques, tant mieux. Mais tout d'abord, il faut travailler encore et encore."

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