Omid Noorafkan livre ses premières impressions sur Charleroi

Malik Hadrich
Malik Hadrich
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Omid Noorafkan livre ses premières impressions sur Charleroi

Omid Noorafkan a débarqué cet été à Charleroi en provenance de l'Esteghlal Téhéran. Âgé de 21 ans, il s'agit de sa première expérience à l'étranger. Mais il a déjà eu le temps de se familiariser avec la région qui l'a accueilli et son nouveau club.

Omid Noorafkan a signé son contrat au Sporting Charleroi au début du mois de juin.  Cela fait maintenant plus d'un mois qu'il fait connaissance avec le Pays Noir : "J’ai senti tout de suite beaucoup de chaleur, les gens ont été très accueillants avec moi. Partout où j’ai pu aller. J’ai le sentiment que les Carolos suivent beaucoup leur club de foot. J’ai hâte de vivre et voir de mes propres yeux l’ambiance que certains m’ont décrite."

Et ses premières impressions sur son nouveau club sont également positives dans les colonnes de Sudpresse : "J’ai vu un système de fonctionnement très structuré. Où tout le monde, au niveau du staff, donne le sentiment de savoir exactement ce qu’il fait pour préparer au mieux cette équipe. J’ai suivi un peu Charleroi l’année passée. Vu les résultats obtenus, je pense que cette équipe doit être capable de faire tout aussi bien, si pas mieux."

Langue

Forcément, la barrière de la langue existe encore : "Ça fait partie de l’adaptation. Je sais que ce sera difficile mais j’avais déjà commencé à prendre des cours pour perfectionner mon anglais en Iran, et je continue ici, tous les jours, avec le prof particulier du club. Le français, par contre, c’est trop dur (rires). J’espère qu’au plus vite, je vais progresser pour pouvoir être plus à l’aise à ce niveau-là. Même si dans le foot, il y a un langage corporel et universel qui fait qu’on peut comprendre certaines choses assez facilement."

Il a également pu s'appuyer sur les conseils de Kaveh Rezaei : "Pour moi, c’était très important de m’acclimater directement. Je savais que ce serait de toute manière une période difficile à partir du moment où tu quittes un pays pour un autre que tu ne connais absolument pas. J’ai travaillé tous les jours au centre sportif de Monceau car Kaveh m’avait prévenu que la reprise allait être très compliquée par rapport à ce qu’on a vécu en Iran."

C'est d'ailleurs son  compatriote qui lui a sans doute ouvert la voie au Sporting Charleroi.

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