Trebel revient sur le mercato : "C'était allé très loin, mais le club ne voulait pas payer le transfert"

"J’ai eu des possibilités, comme Porto avec qui les discussions étaient allées très loin, mais le club ne voulait pas payer le transfert", révèle Adrien Trebel dans un entretien accordé à Sudpresse. "Avec le Celtic ou le Hertha Berlin aussi, c’était avancé, mais je ne voulais pas partir dans des clubs du niveau d’Anderlecht ou dans des championnats comme le belge. Quand on part, on sait ce qu’on quitte, pas ce qu’on va trouver."

Les Mauves ont aussi su se montrer convaincants. "Personne ne voulait que je parte. Et pour le coach, c’était encore plus clair : je devais rester ! Le déclic aurait été qu’un bon club d’un top championnat vienne me chercher. J’ai connu des titres et je veux lutter pour des trophées. Mais je tenterai une fois l’aventure dans un grand championnat, c’est sûr."

Normal qu’il y ait besoin de temps et d’ajustements

Anderlecht vit un début de saison fort mitigé, des transferts sont attendus. "Tout est nouveau, c’est normal qu’il y ait besoin de temps et d’ajustements via un deuxième mercato. De toute façon, avec les playoffs, on peut encore être champion", sait Trebel. 

"Concernant le recrutement, je n’ai pas à me positionner. Mais avec un nº10, qui permettrait à Bakkali de jouer à gauche, Zakaria serait encore plus fort. Et devant, Dimata est très bon, mais il a 21 ans. Il doit souffler de temps en temps."