Johan Walem commente le lourd tirage pour nos Diablotins

Le sélectionneur veut évidemment croire aux chances de qualifications. “C’est un peu le groupe de la mort mais pourquoi pas. La difficulté va aller crescendo. Mes garçons aiment cela. On va se confronter au top, c’est une super expérience", a-t-il réagi auprès de La DH.

"Maintenant, nous avons six mois pour nous préparer, bien visionner les matchs de qualification de l’Espagne et de la Pologne pour mettre toutes les chances de notre côté”, note le sélectionneur, 

Johan Walem a ensuite évoqué tous les adversaires, et tout d'abord la Pologne. “Chez les jeunes, le football polonais est très fort, je me souviens avoir sorti un ou deux joueurs comme Zielinksi quand j’étais à Udinese. Ils ont du talent et Kownacki, une grosse valeur ajoutée. Ce match sera le plus important car nous aurons une obligation de résultat. Comme eux”, explique-t-il.

L'Italie sera l'équipe à battre

Il y aura ensuite l'ogre espagnol. "Un vrai pays de foot qui a l’habitude du haut niveau avec une vraie identité du jeu. Du lourd mais mes joueurs aiment se confronter à plus fort ou soi-disant plus fort. Alors…”

Puis l'Italie, le pays organisateur et autre favori que nos Diablotins connaissent bien. "Il ne faut pas vraiment donner trop d’importance à notre victoire face à eux en amical. Il était important de se confronter à un football adulte, physiquement très fort. C’est une super équipe avec un potentiel exceptionnel. Ils seront redoutables avec un entraîneur gagneur, parfois même méchant (Luigi Di Biagio). Ce sera l’équipe à battre.”