Martinez: "Ne pas sélectionner ce Diable a été plus difficile que pour Nainggolan"

Parmi les choix de Roberto Martinez, celui de ne pas reprendre Radja Nainggolan pour le Mondial 2018 a probablement été le plus commenté et critiqué. "C'est normal d'être critiqué quand vous prenez des décisions et cela ne doit pas influencer sur les choix; si j'avais voulu me rendre populaire, j'aurais repris certains joueurs. Mais cela aurait été une erreur", a répété Martinez dans Het Nieuwsblad. 

La décision la plus difficile de sa carrière

Mais le coach de l'équipe nationale l'assure: le choix de ne pas reprendre le "Ninja" n'était pas le plus gros dilemme auquel il a été confronté. "J'ai dû prendre des décisions plus compliquées que celle-là. Qui ne concernaient peut-être pas des noms aussi populaires", explique-t-il. "Comme celle de laisser Kevin Mirallas à la maison. C'était très dur, l'une des décisions les plus difficiles de ma carrière", affirme Martinez. "J'ai travaillé avec Mirallas, j'en ai été très proche à Everton. Quand vous savez de quoi un joueur est capable, mais que pour une raison ou une autre, il ne joue pas en club, c'est difficile".