La réponse de Felice Mazzu "à ceux qui disent que je suis un entraîneur défensif"

La réponse de Felice Mazzu "à ceux qui disent que je suis un entraîneur défensif"
Photo: © photonews

Contraint de coucher sur papier un onze bien plus offensif qu'à l'habitude, le coach carolo estime qu'on a vu contre Eupen, pourquoi il s'évertuait à jouer avec "un milieu densifié".

Décimé par les blessures, le Sporting de Charleroi avait un visage inédit pour entamer, contre Eupen, le dernier match de sa phase classique. Un 4-3-3, avec un seul milieu dit 'défensif', ce n'est pas dans les habitudes du Sporting de Felice Mazzu

Et ça n'a pas été couronné de succès. "On a manqué d'équilibre, devant, comme derrière", analyse le coach des Zèbres. Et on a surtout vu, selon lui, pourquoi le Sporting de Charleroi a pris l'habitude de jouer avec plus de "densité dans le milieu". "A tous ceux qui répètent que Mazzu est un entraîneur ultra-défensif, j'espère qu'ils ont vu le résultat quand on joue avec une tactique très offensive", insiste-t-il.  

L'absence de Marco? On ne pouvait pas prendre ce risque. 

"On a joué avec un seul 6, Christophe Diandy et avec trois attaquants. Le résultat et le contenu le prouvent: Charleroi a besoin de plus de densité dans l'axe du jeu, c'est une question d'équilibre", explique-t-il. 

Pourtant le coach carolo a décidé de se passer des services de Marco Ilaimaharitra. Il s'explique. "Marco avait neuf cartons jaunes avant le match. S'il avait pris une jaune contre Eupen, il aurait été suspendu pour les deux premières rencontres des playoffs. On ne pouvait pas prendre ce risque." 

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