Quatre ans après son départ d'Anderlecht, il est toujours poursuivi par la poisse : "Personne n'ose l'acheter"

Quatre ans après son départ d'Anderlecht, il est toujours poursuivi par la poisse : "Personne n'ose l'acheter"

Les blessures constituent l'un des fils rouges de la carrière de Philippe Sandler. De quoi refroidir certains clubs intéressés par ses services.

A Anderlecht, Philippe Sandler n'avait disputé que neuf matchs. Le temps de se blesser au genou et au ménisque, pour mettre un terme à sa saison dès le début du mois d'octobre.

Malgré ses qualités balle au pied, le défenseur néerlandais était donc reparti le moral dans les chaussettes à Manchester City, qui l'avait prêté aux Mauves.

Il a ensuite joué l'équivalent de six matchs complets en deux saisons, répartis entre l'équipe U23 des Cityzens, un prêt à Troyes, puis Feyenoord, où il est arrivé libre.

Philippe Sandler rechute

Resté à peine six mois à Rotterdam, il a ensuite mis les voiles sur le NEC Nimègue, où il a enfin pu se stabiliser depuis deux ans. Mais sa fragilité physique n'est jamais loin. Le weekend dernier, il est sorti blessé après 24 minutes, blessé aux ischio-jambiers. Et ce alors que des clubs comme l'Ajax et le PSV étaient cités pour cet été.

"C'est son handicap. Personne n'ose l'acheter" explique tristement Dick Advocaat sur Veronica Offside. Wesley Snejder est plus positif : " Dans les grands clubs, ils peuvent travailler avec un tel joueur. Là, ils ont plus de ressources pour le maintenir en forme. D'un autre côté, on y joue plus de matches".

"Je le trouve génial. Il saute toujours une ligne par derrière, il ose jouer, il prend des risques dans son jeu. C'est dommage pour un tel joueur" poursuit-il. Un montant de cinq millions est évoqué pour que le NEC accepte de laisser partir son joueur. Un club du top prendra-t-il ce risque calculé ?

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