Date: 29/04/2015 20:30
Compétition: Play-offs 1
journée: Journée 5
Stade: Jan Breydel
Felice Mazzù : "Attention aux phases arrêtées brugeoises !"
Edgar Makanga
Edgar Makanga
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Felice Mazzù : "Attention aux phases arrêtées brugeoises !"
Photo: © photonews

Mercredi soir (20h30), pour la 5e journée des playoffs 1, le Sporting de Charleroi se déplace au Club de Bruges. "Il s'agit d'un sacré client, tout simplement le candidat numéro 1 au titre", estime un entraîneur du RCSC rassuré sur l'état de fraîcheur de son groupe.

À Charleroi, Edgar Makanga

Après s'être exprimé sur le cas Neeskens Kebano, mardi midi lors du point-presse, l'entraîneur du Sporting de Charleroi s'est également attardé sur le Club de Bruges, leader des playoffs 1 avec 38 unités.

"Inutile de s'étendre sur leur noyau et leur qualités : il s'agit d'un sacré client, tout simplement le candidat numéro 1 au titre", soulignait Felice Mazzù. "Lors de la théorie d'avant-match, je me suis longuement attardé sur les phases arrêtés brugeois. Depuis le début des playoffs 1, les Blauw en Zwart ont inscrit 75 % de leurs buts de la sorte. Nous devrons donc redoubler d'attention."

Autre constante : les Brugeois ont systématiquement concédé l'ouverture du score lors de leurs quatre premiers matches en PO1. Les Carolorégiens pourront-ils en profiter ?

"J'en ai aussi parlé à mes joueurs mais je n'ai pas non plus insisté sur ce point car nous aussi, nous débutons mal nos rencontres. De plus, un match n'est pas forcément l'autre", ajouait le technicien hennuyer.

Mes joueurs sont en pleine forme"

Si Neeskens Kebano pourrait être préservé en vue de la venue d'Anderlecht dimanche (18h), doit-on s'attendre à plusieurs modifications dans le onze de base, au vu de l'accumulation des matches ?

"Moralement et physiquement, mes joueurs sont en pleine forme, en dépit de la débauche d'efforts produite samedi dernier, face au Standard de Liège. Je n'ai pas décelé un éventuel excès de fatigue. Le groupe travaille bien. Si changement il y a, ils seront peu nombreux", concluait Felice Mazzù.

 


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