Les Anderlechtois très clairs : "Il ne fallait absolument pas faire ça"

Florent Malice
Florent Malice depuis le Lotto Park
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Les Anderlechtois très clairs : "Il ne fallait absolument pas faire ça"

Anderlecht a relâché la pression et permis à Bruges de revenir dans un match où aucune des deux équipes n'était fort inspirée. Zeno Debast comme Brian Riemer le savaient : le RSCA s'est endormi.

À la pause, on se disait que le Sporting d'Anderlecht tenait cette rencontre assez tranquillement. Certes, les blessures de Dolberg et Delaney étaient un problème, mais Bruges ne montrait rien. "La première mi-temps est pour nous, on se procure pas mal d'occasions", estimait Zeno Debast.

"Je crois qu'on voit bien les progrès qu'on est en train de faire en tant qu'équipe. Avec 12 renforts, ça prend du temps et je trouve qu'aujourd'hui, c'était assez bon", ajoute Debast, ce que confirme son entraîneur Brian Riemer en conférence de presse.

Anderlecht a perdu le fil

"J'étais très heureux de la performance en première période. Enfin, on pouvait voir tout ce sur quoi nous avions travaillé ces dernières semaines se mettre en place", déclare le Danois. "Nous avons contrôlé le match, gêné le pressing brugeois, il y avait du mouvement".

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© photonews

Puis, en partie à cause de changements forcés, Anderlecht perdra le fil. "En seconde période, nous avons ralenti le rythme et c'était ce qu'il ne fallait absolument pas faire", regrette Zeno Debast. "Il fallait réussir à garder le ballon un peu plus longtemps".

Les blessures ont bien sûr eu une influence, mais Brian Riemer aurait aimé voir un Anderlecht plus conquérant. "Bruges est bien remonté, mais nous sommes surtout devenus trop passifs. Même après le 1-1, nous aurions dû pousser plus, être confiants. Mais le match n'allait plus nulle part", regrette l'entraîneur du RSCA. 

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