Des interdits de stade présents lors d'Union - Anderlecht ? La police se défend formellement

Des interdits de stade présents lors d'Union - Anderlecht ? La police se défend formellement

L'Union Saint-Gilloise s'est qualifiée pour les quarts de finale de la Coupe de Belgique en battant le RSC Anderlecht (2-1). La fin de match a été entachée par des débordements de plusieurs supporters d'Anderlecht.

Alors que l'on s'approchait de la fin de la rencontre, des gobelets ont été jetés en direction d'Anthony Moris, le gardien de l'Union. La rencontre a été stoppée durant 10 minutes. Le commissaire Boucar, de la zone Bruxelles-Midi, a ensuite accompagné Vertonghen et Leoni, qui se sont adressés aux supporters d'Anderlecht. 

Si la rencontre est finalement allée à son terme, plusieurs critiques ont été émises envers la police et sa gestion de la sécurité de la rencontre. Le commissaire Boucar a répondu à ces dernières dans les colonnes de la Dernière Heure.

La police se défend après l'interruption d'Union - Anderlecht 

“On dit qu’il y avait des interdits de stade parmi les 1000 supporters du Sporting à l’Union, mais c’est faux”, a-t-il affirmé. “On discrédite l’excellent travail des spotters, grâce à qui le match n’a pas dû être arrêté définitivement. Si on prétend qu’il y avait des interdits de stade, qu’on me fournisse des preuves. Il n’y en a pas.”

Il a également expliqué la décision de ne pas faire reculer les fans d'Anderlecht du but de Moris. “De un, cela signifierait que les tribunes inférieures de tous les stades de Belgique devraient être vides. De deux : une mesure pareille doit être prise par le club et exécuté par les stewards : c’est le club qui est l’organisateur du match. Et de trois : la plateforme derrière le but de l’Union doit servir de voie d’évacuation et ne peut donc pas être supprimée.”

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