Lothar Matthaüs cocu et au chômage!
Photo: © SC
Après avoir connu tous les succès, le capitaine de la Mannschaft championne du monde en 1990 enchaine les déboires. Les frasques de sa jeune épouse font la manchette de la presse populaire et le contrat qui l'attendait au Caméroun capote!
Lothar Matthäus est un monument du football allemand. L'ancien beau gosse avec un look de macho des superettes a tout gagné durant sa carrière de joueur au Bayern, à l'Inter et en équipe nationale où il détient encore toujours le record du nombre de sélections (150).
Mais après le beau temps vient le temps des "draches" ou comme le dit un proverbe bavarois "après une orgie d'apfelstrudels vient toujours l'indigestion".
Il y a vingt mois, cet homme à femmes, à gourmettes et à parfums un peu beauf, avait en quatrième noces épousé la jeune Liliana, une étudiante de vingt-trois ans qui faisait des piges comme mannequin, belle comme le but d'Iniesta en finale de la Coupe du Monde et dont chaque sourire ensorceleur renvoie à la consigne des mémères fin de cycle les Angelina Jolie et autres Jennifer Lopez.
Mais voilà, Liliana est mangeuse d'hommes, volage, papillonnante d'insouciance et butinant goulûment le pollen des lits adultères. Pire même, et comble de malheur pour Matthäus, la belle qui n'a cure des objectifs des paparazzis, affiche torridement son escapade amoureuse avec un bellâtre italien en une de tous les journaux à sensation que compte le pays de Goethe, de Beethoven et de Lidl.
Lothar est broyé. Son ego en prend un coup. Reste la bouée de sauvetage de la carrière. Reconverti au début des années 2000 comme entraineur, l'ancien champion du monde a roulé sa bosse de Belgrade à Vienne en passant par la Hongrie et Israel. Rien de prestigieux. Du second choix, même. Un peu comme si Johan Cruijff avait dû se contenter d'entrainer le RJ Wavre.
Mais la roue de la fortune semblait tourner. L'heure de Matthäus allait à nouveau sonner. Le Caméroun qui cherchait un successeur à Paul Le Guen frappait à sa porte. Enthousiaste comme un Allemand peut l'être après avoir bu un verre de schnaps, le futur entraineur d'Eto'o acheta un appartement à Paris en guise de port d'attache pour pouvoir visionner la diaspora des Lions Indomptables.
Cependant, hier, dans un article publié sous la manchette consacrée aux parties de jambes en l'air de Liliana, Matthäus apprit que finalement le Caméroun allait embaucher un autre Allemand à sa place : Klaus Toppmöller. Klaus qui? Direz-vous. Klaus Toppmöller, le sélectionneur de l'Arménie.
Doublement cocufié, l'avenir de Lothar Matthäus s'annonce bis-cornu!
Mais après le beau temps vient le temps des "draches" ou comme le dit un proverbe bavarois "après une orgie d'apfelstrudels vient toujours l'indigestion".
Il y a vingt mois, cet homme à femmes, à gourmettes et à parfums un peu beauf, avait en quatrième noces épousé la jeune Liliana, une étudiante de vingt-trois ans qui faisait des piges comme mannequin, belle comme le but d'Iniesta en finale de la Coupe du Monde et dont chaque sourire ensorceleur renvoie à la consigne des mémères fin de cycle les Angelina Jolie et autres Jennifer Lopez.
Mais voilà, Liliana est mangeuse d'hommes, volage, papillonnante d'insouciance et butinant goulûment le pollen des lits adultères. Pire même, et comble de malheur pour Matthäus, la belle qui n'a cure des objectifs des paparazzis, affiche torridement son escapade amoureuse avec un bellâtre italien en une de tous les journaux à sensation que compte le pays de Goethe, de Beethoven et de Lidl.
Lothar est broyé. Son ego en prend un coup. Reste la bouée de sauvetage de la carrière. Reconverti au début des années 2000 comme entraineur, l'ancien champion du monde a roulé sa bosse de Belgrade à Vienne en passant par la Hongrie et Israel. Rien de prestigieux. Du second choix, même. Un peu comme si Johan Cruijff avait dû se contenter d'entrainer le RJ Wavre.
Mais la roue de la fortune semblait tourner. L'heure de Matthäus allait à nouveau sonner. Le Caméroun qui cherchait un successeur à Paul Le Guen frappait à sa porte. Enthousiaste comme un Allemand peut l'être après avoir bu un verre de schnaps, le futur entraineur d'Eto'o acheta un appartement à Paris en guise de port d'attache pour pouvoir visionner la diaspora des Lions Indomptables.
Cependant, hier, dans un article publié sous la manchette consacrée aux parties de jambes en l'air de Liliana, Matthäus apprit que finalement le Caméroun allait embaucher un autre Allemand à sa place : Klaus Toppmöller. Klaus qui? Direz-vous. Klaus Toppmöller, le sélectionneur de l'Arménie.
Doublement cocufié, l'avenir de Lothar Matthäus s'annonce bis-cornu!
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