"Stupéfait", Thierry Dailly répond fermement aux "mensonges" de John Textor !

"Stupéfait", Thierry Dailly répond fermement aux "mensonges" de John Textor !
Photo: © photonews

Suite aux remous internes au RWDM, le propriétaire John Textor a décidé de renvoyer l'iconique président Thierry Dailly. Accusé de plusieurs faits, il a répondu sans équivoque à l'homme d'affaires américain.

“Ma réaction ? Je suis stupéfait", a lancé Thierry Dailly, interviewé par la Dernière Heure depuis son lieu de vacances en Espagne. "Stupéfait de lire ce genre de propos mensongers énormes, que je nie à 100 %. Détruire le travail effectué par Julien Gorius et ma part depuis des années dans un communiqué de dix pages, c’est ahurissant. À la hauteur du personnage qu’est John Textor. Quand on lit ce communiqué, on se rend compte qu’il s’agit d’égocentrisme, qu’il veut tirer la couverture à lui. Mais le RWDM, ce n’est pas qu’une seule personne. C’est tout un ensemble et notamment un staff qui a reçu énormément de pressions et de menaces de la part John Textor tout au long de la saison. Ça a été très loin.”

“Il m’a mis dehors lors d’un CA où ce point n’était pas à l’ordre du jour. Il m’a viré en visioconférence, sans le moindre respect pour quelqu’un qui a donné toute sa vie pour le club. Ça m’a écrasé. Mais quand il s’est réveillé et qu’il a vu les milliers de messages du monde du football qui me témoignait son respect, il nous a offert cette réaction pleine d’amateurisme et de mensonges que je nie en bloc", révèle Dailly. 

Accusé de nombreux chefs par Textor, Dailly les réfute catégoriquement.  “J’ai eu un pétage de plombs, j’ai cassé ma porte, je le reconnais. Mais parce que ce jour-là, j’ai reçu des informations très graves sur lesquelles je reviendrai dans les prochains jours au vu de leur gravité", déclare-t-il, en précisant qu'il n'a pas détourné de fonds.  “Je nie tout en bloc à 300 % et je suis en train d’étudier la question avec des professionnels, car ce sont des accusations très graves. Personne n'y croit. En l’espace de quelques semaines, une personne est arrivée au club et je suis devenu l’homme à abattre. Il y a un proverbe qui dit : 'Quand on veut noyer son chien, on dit qu’il a la rage.' Il a voulu se séparer de moi et pour convaincre tout le monde, il a décidé de me salir. Je n’avais jamais vu ça, c’est unique, à la hauteur du personnage.”

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