Réaction Après sa soirée noire contre Fenerbahce, Christian Burgess cible l'arbitrage : "Il a tout sifflé pour eux !"

Après sa soirée noire contre Fenerbahce, Christian Burgess cible l'arbitrage : "Il a tout sifflé pour eux !"
Photo: © photonews

Christian Burgess a vécu une soirée noire face à Fenerbahce. Le défenseur de l'Union est fautif sur les deux derniers buts turcs et a de plus écopé d'une suspension tout à fait évitable.

Loin de nous la volonté de critiquer un joueur inutilement. Ces dernières semaines, Christian Burgess a semblé de maintes fois dépassé sur ses interventions et ses courses défensives, que ce soit en championnat, en Coupe ou en Conference League. Les largesses du défenseur anglais était souvent compensées par ses coéquipiers ou par la physionomie des matchs. De plus, il était également capable de les rattrapper lui-même. 

Il a été mangé en vitesse sur le 0-2, des oeuvres d'Oosterwolde. Certes, on sait que la rapidité n'est pas le grand atout de Burgess, surtout pas avec près de 90 minutes dans les jambes et déjà 40 (!) rencontres jouées cette saison. Espérons que cela ne devienne pas inquiétant pour la suite et fin de la saison, où l'Union aura plus besoin que jamais de l'Anglais. 

Union - Fenerbahce : Christian Burgess charge l'arbitrage 

Dans sa fin de match cauchemardesque, Burgess a touché le ballon de la main sur un centre qui paraissait anodin. L'arbitre a indiqué le point de penalty et Tadic a marqué le 0-3. Un manque de lucidité, sans doute. Comme dans le fait d'écoper d'une carte jaune dans la foulée, pour protestation. Si Burgess n'est évidemment pas responsable de la défaite de l'Union ce jeudi, il l'est malheureusement pour sa suspension. Il ratera la rencontre retour jeudi prochain à Istanbul. Sans lui et Amoura, l'Union aura besoin d'un miracle, tout simplement. 

En après-match, Burgess a d'ailleurs critiqué la décision de l'arbitre de donner penalty. "Il n'y a jamais penalty, c'est incroyable. De nos jours, il faut se couper les bras. Je ne sais pas où l'arbitre veut que je mette mes bras. De toute façon, on ne peut pas défendre comme ça (...)  J'étais très proche de l'attaquant, qui a tiré le ballon sur moi. Mais l'arbitre a tout sifflé en leur faveur, alors je ne m'attendais pas à autre chose." 

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