"Ce n'est pas moi qui ai transféré Davida, Perica et Barret Laursen" : Bruno Venanzi défend son bilan au Standard mais concède sa principale erreur

"Ce n'est pas moi qui ai transféré Davida, Perica et Barret Laursen" : Bruno Venanzi défend son bilan au Standard mais concède sa principale erreur
Photo: © photonews

Il y a un peu plus d'un an, Bruno Venanzi revendait le Standard à 777 Partners. Il revient sur son passage agité à la présidence du club.

Voilà un an et demi que le fonds d'investissement 777 Partners est à la tête du Standard. Si la fin du dernier mercato a ramené un peu d'enthousiasme en bord de Meuse, le club reste toutefois dans une situation compliquée, notamment sur le plan financier. Dans la cité ardente, certains attribuent cette situation à la mauvaise gestion de Bruno Venanzi

Une explication qui agace l'ancien président du Standard : "C’est de bonne guerre d’imputer la situation actuelle à la direction précédente, mais après 18 mois, ils devraient un peu changer de rengaine ; ce n’est quand même pas moi qui ai transféré Davida, Perica et Barret Laursen" déclare-t-il au journal Le Soir.

Venanzi se montre d'ailleurs satisfait de son bilan à tête du club : " Si on fait le compte sur mes sept années, seuls Genk et le Club de Bruges ont un meilleur palmarès et sans la main de Vormer, le titre ne nous aurait sans doute pas échappé en 2018" poursuit-il. 

L'homme d'affaire liégeois concède tout de même regretter un élément dans sa gestion du club : "Mon erreur a été de rester seul actionnaire, j’aurais dû avoir la présence d’esprit de m’accompagner d’un ou plusieurs partenaires dès le départ ; à cause de cela, j’ai manqué d’esprit critique et de contrepoids dans ma gestion".

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