Pas assez bon pour le top espagnol, "ressuscité" avec Anderlecht : "Un an plus tard, il vaut beaucoup d'argent"

Pas assez bon pour le top espagnol, "ressuscité" avec Anderlecht : "Un an plus tard, il vaut beaucoup d'argent"
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Anderlecht est en train de refaire de Kasper Dolberg une véritable machine à marquer. Et en Espagne, on souligne le "raté" du FC Séville, qui n'a pas cru en lui.

Ce lundi, le quotidien espagnol AS a consacré un article à Kasper Dolberg, ancien "flop" du FC Séville actuellement en train de se refaire une santé à Anderlecht. Le Danois n'a pourtant passé que quelques mois en Andalousie : en septembre 2022, l'OGC Nice prête Dolberg à Séville, où il ne va jamais s'imposer. Après 5 rencontres et aucun but, le FC Séville casse le prêt de l'attaquant, qui finira la saison à Hoffenheim.

Dolberg Kasper Anderlecht
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À l'époque, Séville disposait d'une option d'achat à hauteur de 15 millions d'euros, preuve de la cote que conservait Kasper Dolberg. Un peu plus de 6 mois plus tard, après une seconde partie de saison également ratée à Hoffenheim, Anderlecht s'offrait Dolberg pour 5 millions d'euros à peine. "Nice l'a laissé partir pour un quart de son prix d'achat parce qu'ils ne lui faisaient plus confiance. Et voilà qu'il ressurgit en championnat de Belgique, au point d'attirer à nouveau l'attention de plusieurs clubs européens".

Kasper Dolberg et Isco 

Vu d'Espagne, on pointe donc le manque de flair du directeur sportif de Séville, Monchi, et pour cause : quelques jours avant de se séparer de Dolberg, il avait rompu le contrat d'un certain Isco (31 ans), qui signera chez le rival du Bétis quelques mois plus tard. Cette saison, Isco en est à 7 buts et 5 assists. Kasper Dolberg est donc vu comme "un second Isco" par les observateurs espagnols : un joueur en qui le FC Séville aurait peut-être dû croire. 

"Même s'il est bien connu des recruteurs depuis longtemps, Kasper Dolberg n'a jamais que 26 ans et encore le temps d'exploser définitivement, compte tenu de sa qualité", conclut AS. Le fait que, dans le même temps, Ludwig Augustinsson et Thomas Delaney, prêtés par Séville à Anderlecht, retrouvent des couleurs en rajoute encore une couche. Mais ni eux, ni Dolberg ne s'en sont cachés : la vie à Séville ne leur plaisait pas. Rien ne dit que, même en étant patient, ils auraient fini par exploser en Andalousie...

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