Entretien avec Kabasele: son départ de Mouscron, son expérience en Turquie, ses ambitions...

Hermès Van Damme
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Entretien avec Kabasele: son départ de Mouscron, son expérience en Turquie, ses ambitions...

Prêté à Mouscron la saison dernière, Nathan Kabasele a tenté sa chance en Turquie avant de revenir en Belgique à l'Union Saint-Gilloise. Nous avons téléphoné à l'attaquant formé à Anderlecht pour en savoir plus sur son expérience en Turquie et sur ses projets futurs.

Nathan Kabasele nous a accordé un peu de temps pour revenir sur son départ de Mouscron, son expérience en Turquie, son choix pour l'Union et sur ses projets futurs.

Pourquoi as-tu quitté Mouscron ?

Ils voulaient me garder, mais il me restait un an de contrat à Anderlecht. Mouscron voulait me récupérer gratuitement, avec un pourcentage à la revente, ce qui n'arrangeait pas vraiment Anderlecht. Du coup, ça a pris trop de temps et je ne voulais pas attendre jusqu'à la fin du mercato.

Tu décides donc de signer en Turquie à Gaziantep, pourquoi ?

J'ai reçu plusieurs offres, dont quelques-unes en Turquie. Je voulais voir comment c'était parce qu'on m'en avait beaucoup parlé.

Et qu'est-ce que tu en ressort ?

C'est une bonne expérience. J'ai signé deux ans et demi, donc normalement, je retourne là-bas après mon prêt ici à l'Union. J'ai quand même eu du temps de jeu. J'ai participé à tous les matches (12) et puis un nouveau coach est arrivé avec une autre philosophie et c'était plus difficile parce qu'il ne me faisait pas jouer à ma place. J'aurais pu rester mais je voulais revenir auprès de ma famille.

Comment est-tu arrivé à l'Union ?

J'ai eu quelques touches pendant le mercato, notamment en D1. Mais j'ai senti que l'Union était le club le plus intéressé. J'ai parlé au président et au coach, qui m'a vraiment convaincu. Son discrours m'a vraiment plu. Et le projet est très intéressant. En plus, je peux être proche de ma famille.

Rester à l'Union après ton prêt, c'est envisageable ?

Pourquoi pas. Vous connaissez le foot. On ne sait jamais ce qu'il peut arriver. On verra.

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