Pierre Locht explique le rôle de la Taskforce : "Avoir le plus de soutien possible derrière le nouveau sélectionneur"

Pierre Locht explique le rôle de la Taskforce : "Avoir le plus de soutien possible derrière le nouveau sélectionneur"
Photo: © photonews

CEO du Standard, Pierre Locht est aussi membre de la Taskforce chargée de nommer le nouvel entraîneur des Diables Rouges.

Les candidatures pour le poste de sélectionneur des Diables Rouges sont désormais refermées. Invité sur le plateau de la chaîne LN24, Pierre Locht a expliqué la suite des opérations. "Nous allons désormais analyser cette liste de candidats, puis d'arriver avec une liste un peu plus réduite. Est-ce qu'il y a eu beaucoup de candidatures ? Je le découvrirais dans les prochains jours. Les candidatures ont été collectées par l'Union belge elle-même."

Ainsi, la Taskforce dont fait partie Locht ainsi que  Peter Bossaert, Sven Jaecques et Bart Verhaeghe "va se réunir pour faire l'analyse". "Petit à petit, nous réduirons la liste et rencontrerons les candidats, puis nous choisirons le candidat qui nous a paru le plus pertinent. Il faudra également se mettre d'accord sur le volet contractuel." 

Sur la Taskforce 

"Ce groupe est composé de représentants du Conseil d'Administration et de la Pro League. Le management de l'Union belge est présent aussi. Ensemble, ce seront eux qui constitueront le groupe qui devra faire le choix final (du sélectionneur)." 

Est-ce que le choix de faire appel à plusieurs représentants de clubs est commun ? "C'était déjà le cas lors du choix de Roberto Martinez", répond Locht. "L'idée est ici, pour l'Union belge, de faire appel à l'expertise de la Pro League. Car choisir un entraîneur, c'est quelque chose que l'Union belge fait moins. Les clubs sont amenés à le faire plus souvent, parfois trop. L'idée est aussi d'avoir le plus de soutien possible lorsque le sélectionneur national sera nommé." 

Sur les profils possibles et le budget réservé

Pierre Locht s'est ainsi montré prudent sur les noms potentiels des candidats : "Je ne vais pas m'exprimer sur les candidats potentiels. Je ne sais même pas encore lesquels ils sont", a-t-il répondu, avant d'agir de même concernant le budget réservé par l'Union belge. "Cela doit rester confidentiel, mais je pense que nous avons les moyens pour attirer un très bon candidat." 

Est-ce que l'entraîneur doit être Belge ? "Je ne sais pas. Le mieux, c'est d'avoir le meilleur entraîneur possible en termes de compétences. Etre Belge peut être un avantage." 

Sur les objectifs 

La question se pose donc, après une Coupe du monde loupée : quels seront les objectifs du prochain sélectionneur de la Belgique ? "Le premier objectif, c'est de se qualifier pour le prochain Euro. Je pense qu'il faut rester modeste et humble. On a vu de grandes nations rater de grandes compétitions auparavant." 

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