🎥 "J'ai eu des frissons dès l'échauffement" : Axel Witsel raconte son retour de rêve à Sclessin
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Capitaine durant la dernière demi-heure, Axel Witsel a vécu un retour de rêve à Sclessin ce mardi soir. L'ancien joueur du Standard s'attendait à un bel accueil, mais il a tout de même été surpris par l'ampleur de l'ovation.
Les supporters du Standard auraient aimé qu’Axel Witsel fasse son retour à Sclessin cet été, lorsque son nom circulait avec insistance. Ils ont finalement dû attendre ce 18 novembre pour revoir leur chouchou à la maison. Capitaine durant les trente dernières minutes, le médian défensif de 36 ans a fait lever les foules à chacune de ses prises de balle et a reçu un accueil digne de ce nom.
"J'ai beaucoup de souvenirs. J’ai eu des frissons directement. En arrivant au stade, à l’échauffement, quand ils ont commencé à scander mon nom… Je m’attendais à un bel accueil, mais je ne pensais pas que ce serait autant, ça me fait super plaisir. Je dois remercier tout le monde, c’était vraiment incroyable. Avoir fait le match qu’on a fait, avec la qualification au bout, c’est parfait."
Les retrouvailles entre Axel Witsel et Marouane Fellaini
Avant la rencontre, Axel Witsel a croisé un visage plus que familier : celui de Marouane Fellaini, son ancien coéquipier au Standard et chez les Diables, honoré avant le coup d’envoi pour sa carrière en équipe nationale.
"Marouane m’a juste dit : 't’es encore là , toi ? Qu’est-ce que tu fous là , tu ne veux pas arrêter ?' On a un peu discuté ensemble. Il a fait beaucoup pour nous. Indépendamment du football et de tout ce qu’on a vécu ensemble en équipe nationale et au Standard, c’est quelqu’un de top. On s’appelle de temps en temps. Il profite de la vie, et moi, j’essaie de profiter encore un peu du football avant de profiter de la vie."
Jouer contre le Mexique et les États-Unis en mars, ce sera bien"
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Réintégré dans la sélection par Rudi Garcia, Axel Witsel pourrait donc faire partie des joueurs qui disputeront leur septième grand tournoi consécutif cet été. Après les réussites, comme à la Coupe du monde 2018, et les échecs, comme au Qatar en 2022, il sait ce qu’il faut faire — et éviter — pour vivre un été réussi.
"Il faudra bien se préparer en mars. Jouer contre le Mexique et les États-Unis, ce sera bien. Ce ne sont pas des profils que l’on rencontre souvent, c’est un football totalement différent. Dans un grand tournoi, chaque match est important. Que ce soit au niveau du résultat ou de la manière, parce que cela te met dans un mood où tu arrives confiant pour la suite. On va prendre match après match", a-t-il conclu.