Cinq bonnes raisons de regarder Dinamo Zagreb-Olympiakos

Emilien Hofman
Emilien Hofman
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Cinq bonnes raisons de regarder Dinamo Zagreb-Olympiakos
Photo: © SC

Ce soir, il y a Arsenal-Bayern Munich. Mais bien que les Gunners soient sur une jolie période en Premier League, on sait déjà bien que les Allemands vont les battre. Alors pourquoi pas se concentrer sur Dinamo Zagreb-Olympiakos, les deux bourreaux de tonton Arsène ? Voici cinq raisons !

Parce que si Arsenal perd, un de ces deux-là devrait être au deuxième tour

Rare sont les équipes qui se sont qualifiés en huitième de finale après avoir enchaîné un 0 sur 9. Alors que les Gunners font face à un double affrontement avec le Bayern Munich, il faudrait (déjà) presque un miracle pour que les Anglais fassent mieux qu'un 3 sur 6 vu la forme incroyable des Allemands. Cela veut donc dire que si les Croates ou les Grecs l'emportent, ils s'offriront une voie royale pour le deuxième tour.

Pour voir Esteban Cambiasso

L'ancien madrilène, passé également par l'Inter Milan où il était une des pièces-maîtresses de José Mourinho pour la fantastique épopée 2010, Esteban Cambiasso est désormais à l'Olympiakos après une saison passée en Premier League à Leicester City. Au même titre que des Yepes, Zé Roberto ou encore Francesco Totti, il fait partie des trentenaires dont il faut profiter avant la fin de leur carrière.

Parce qu'il y a un peu de Jupiler Pro League à l'Olympiakos

Le nom d'Alfred Finnbogasson ne vous dit sûrement plus rien du tout, pourtant le mec - qui va sûrement participer à l'EURO avec l'Islande - est passé par Lokeren entre 2010 et 2012. Pas fort efficace malgré de jolies capacités, Finnbogasson file à Heerenveen où il explose (53 buts en deux saisons). Conséquence : transfert à Real Sociedad en 2014. Cela se passe par contre mal pour lui, le voici donc en Grèce pour se relancer.

... et au Dinamo Zagreb !

Jérémy Taravel, par contre, ça doit vous dire quelque chose. Le défenseur français est également passé par Lokeren (il venait au départ de Zulte Waregem) qu'il a quitté en 2013 à destination de la Croatie. On ne peut que lui donner raison : le gars est passé d'une future place dans les PO2 (au mieux) à la Ligue des Champions !

Parce qu'il risque d'y avoir des buts

En 360 minutes de temps, les rencontres du Dinamo et de l'Olympiakos ont offert 16 buts aux valeureux supporters qui ont eu le courage de suivre le match. Les Grecs ont ramassé trois buts contre le Bayern là où les Croates en ont pris cinq. Autant dire que les défenses sont ouvertes au but, tant mieux pour le suspense !

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