Mpoku l'admet, il n'était pas enclin à revenir. Avant de "trouver la paix dans son coeur"

Ça s'est mieux passé au Panathinaïkos qu'au Chievo pour Mpoku, mais il n'a pu y rester. "C'est là que je voulais poursuivre mais au vu de leurs problèmes financiers, c'était compliqué. Par contre je ne voulais pas rester à Vérone. Je ne m'y sentais pas bien, j'aurais encore dû jouer pour le maintien dans une équipe vieillissante", déclare-t-il lors de sa (re)présentation.

Je ne pensais pas que c'était une bonne idée

Son retour au Standard ne fut pas une évidence. "Je parle souvent avec Bruno Venanzi, mais pas seulement de football. Parfois on va manger un bout ensemble. Puis un jour il m'a appelé pour le voir, en compagnie d'Olivier Renard. Il m'a parlé de son projet pour le club mais je ne pensais pas que c'était une bonne idée."

"Je voulais encore un peu voir le foot étranger. Venanzi m'a laissé réfléchir pendant que je poursuivais ma préparation ici avec Carlos Rodriguez et durant mes vacances, tandis qu'il discutait avec le Chievo et mon avocat."

Ricardo Sa Pinto a également fait ce qu'il pouvait pour l'attirer. "Il m'a sonné une fois puis il m'a parlé ici au Standard quand je passais faire des soins durant ma préparation."

J'ai écouté la paix dans mon coeur

"Il me voulait vraiment mais si je suis revenu, ce n'est pas pour un coach et un président, ni même mes compatriotes congolais présents. C'est parce que j'ai ressenti de la paix dans mon coeur. Un jour je me disais que je n'allais pas revenir, un autre je me disais que oui. J'ai hésité et j'ai fini par écouter cette paix."