L'arbitre du Clasico est un original pas très classique
Photo: © SC
Le Clasico, c'est Messi contre Ronaldo, Guardiola contre Mourinho, le Barça contre le Real. Mais c'est surtout un arbitre contre le FC Barcelone et le Real Madrid. Voici Monsieur Iturralde Gonzalez.
Eduardo Iturralde Gonzalez. Un nom de famille à deux composantes. L'un sorti de Mars ou du Pays Basque, c'est comme vous préférez. L'autre banal à crever, ibérique jusqu'à pas possible. L'homme est l'arbitre basque du Clasico de lundi. Pas un petit sifflet gris passe-partout. Longe-muraille. Fonctionnaire de l'arbitrage. Non. Le bougre détonne.
Pour lui, le football est un immense commerce. Le Fair-Play, les équipes s'en torchent le cul. C'est bien simple, selon lui, le choc de lundi, c'est l'affrontement entre deux multinationales. Ni plus, ni moins. Et lui, il résume son rôle à celui d'un greffier à l'OMC, l'Organisation Mondiale du Commerce.
Iturralde Gonzalez n'est plus tout jeune. Quarante-trois hivers. Un CV modeste au niveau international, mais une carrière de quinze ans en Primera division. Deux Clasicos déjà à son palmarès. Deux victoires du Barça par 3-0. D'ailleurs du côté de la Catalogne, Eduardo a statut de fétiche. D'ami. Un groupe de musique catalan lui a consacré déjà une ballade. Car sur les treize rencontres qu'il a arbitrées au Nou Camp, les Blaugranas n'en ont perdu aucune.
Par contre, quand il arbitre le Real, les Merengue perdent de leur superbe. Il a arbitré trente matches des Madrilènes qui en ont perdu onze.
Mais l'homme vaut surtout pour son inflexibilité. Son côté Buster Keaton face aux événements contraires comme lors de cette carte jaune qu'il distribua à Zigic. Un poême.
Pour lui, le football est un immense commerce. Le Fair-Play, les équipes s'en torchent le cul. C'est bien simple, selon lui, le choc de lundi, c'est l'affrontement entre deux multinationales. Ni plus, ni moins. Et lui, il résume son rôle à celui d'un greffier à l'OMC, l'Organisation Mondiale du Commerce.
Iturralde Gonzalez n'est plus tout jeune. Quarante-trois hivers. Un CV modeste au niveau international, mais une carrière de quinze ans en Primera division. Deux Clasicos déjà à son palmarès. Deux victoires du Barça par 3-0. D'ailleurs du côté de la Catalogne, Eduardo a statut de fétiche. D'ami. Un groupe de musique catalan lui a consacré déjà une ballade. Car sur les treize rencontres qu'il a arbitrées au Nou Camp, les Blaugranas n'en ont perdu aucune.
Par contre, quand il arbitre le Real, les Merengue perdent de leur superbe. Il a arbitré trente matches des Madrilènes qui en ont perdu onze.
Mais l'homme vaut surtout pour son inflexibilité. Son côté Buster Keaton face aux événements contraires comme lors de cette carte jaune qu'il distribua à Zigic. Un poême.
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