Biglia garde de la rancoeur envers Anderlecht

"Lors de ma première saison, on avait affronté le Milan AC en C1 et j'avais bien joué. Il y a eu des contacts, mais rien ne s'est concrétisé. L'Atlético a fait une offre peu après, mais Anderlecht a refusé. En fait, chaque année, je pensais que c'était ma dernière saison, puis le club augmentait le montant de ma clause libératoire."

Arrivé à 20 ans au Sporting d'Anderlecht, Lucas Biglia a directement montré qu'il avait du talent, même s'il ne parvenait pas à rester constant toute une saison, sa lenteur et ses passes latérales lui étant très souvent reprochées.

Mais, à l'été 2013, quand il a vu qu'on contact concret se mettait en place avec la Lazio, c'est lui qui a pris les choses en main.

"Le club a de nouveau tenté de fermer la porte. Cette fois, je suis parti à Rome, j'ai pris un hôtel, j'ai passé les tests médicaux et j'ai attendu là-bas jusqu'à ce qu'ils signent"

"Au milieu de ce bordel, il y a même eu des gens d'Anderlecht qui m'ont dit que mes objectifs étaient bien trop ambitieux pour moi, que la seule chose que je pouvais espérer en sélection était de tondre la pelouse."