Les Diables sont fiers: "Quand nous étions à la 80ème place, on parlait d'une génération perdue"

Les Diables sont fiers: "Quand nous étions à la 80ème place, on parlait d'une génération perdue"
Photo: © photonews

Non, vous ne rêvez pas. Les Diables Rouges sont en tête du classement mondial de la FIFA. Les joueurs n’avaient jamais fait attention à ce classement auparavant, mais maintenant qu’ils sont en tête, ils en sont fiers.

Si vous allez à l’étranger dans les prochains jours, vous n’aurez plus besoin d’expliquer qui joue dans notre équipe nationale. Nous sommes juste la première nation mondiale du sport le plus populaire au monde. Les mauvaises langues diront que c’est dû à beaucoup de coïncidences, mais qui s’en soucie ?

Vincent Kompany, capitaine d’équipe, était heureux comme un enfant : "Lorsque nous étions 80ème au classement, tout le monde disait que nous étions une génération perdue. Maintenant, nous somme en tête. Alors je veux fêter ça", sourit le joueur de Manchester City.

Nous en sommes fiers

"Nous sommes en train de faire bu bon travail", déclare Alderweireld, profitant de la fête sur le terrain avec Dimitri Vegas et Like Mike. "Il y a trois ans, nous avons commencé cette belle histoire, maintenant nous pouvons en être fiers. Nous avons la pression depuis des années, et maintenant nous somme en première position."

En un mot: historique!

"C’était amusant de faire la fête avec les supporters. Et beaucoup sont restés dans le stade", sourit Simon Mignolet.  "En un mot, c’est historique. Avant le match, nous avions trois choses à l’esprit : la victoire, terminer premier du groupe et être numéro 1 mondial : nous avons tout réalisé. Mais l’être c’est bien, le rester c’est mieux."

C'était une grosse prestation

Origi est dans le groupe depuis la Coupe du Monde. "C’est un petit coup de pouce pour passer un palier. On respecte tous les adversaires, mais on doit être ambitieux."

C'est bizarre d'être devant l'Allemagne ou le Brésil

Thomas Meunier est revenu de blessure juste à temps pour fêter la qualification. "C’est bizarre d’être devant l’Allemagne, la France ou le Brésil. Mais c’est le résultat de trois ans de travail. C’est mérité."

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