"Cela, on ne peut pas encore se le permettre" : Anthony Moris pointe la différence entre l'Union et Anderlecht

"Cela, on ne peut pas encore se le permettre" : Anthony Moris pointe la différence entre l'Union et Anderlecht

Beaucoup d'inconnues entourent encore l'Union Saint-Gilloise. Pourtant, Anthony Moris se veut ambitieux, tout en se montrant réaliste.

A un cheveu du titre la saison passée, l'Union Saint-Gilloise entame le nouvel exercice en devant composer avec le départ du coach Karel Geraerts ainsi que de cadres comme Teddy Teuma, Victor Boniface Simon Adingra, Siebe Van Der Heyden ou Ismaël Kandouss. De quoi se poser des questions sur les objectifs des Unionistes. 

Du côté d'Anthony Moris, cela semble clair : "Notre objectif, ça reste le top 6" explique-t-il à Sud Presse. "Cela peut sembler difficile, mais nous devrons y aller match par match" poursuit-il, tout en regardant ce qu'il se passe chez le voisin anderlechtois : "Pour le moment, des équipes comme Anderlecht attirent également des joueurs comme Kasper Dolberg pour cinq millions d'euros. C'est quelque chose que nous ne pouvons pas encore nous permettre à l'Union".

Avec les 31,75 millions déjà récoltés cet été, les Saint-Gillois disposent toutefois de liquidités pour d'autres renforts potentiels. Jusqu'à présent, à part Victor Boniface, dont les bonus ont fait gonfler le transfert à six millions d'euros l'été dernier, Kevin MacAllister, arrivé il y a quelques jours, est le transfuge le plus cher du club, avec un transfert à 1,5 million.

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