Vanden Borre, son transfert a foiré!
Photo: © SC
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Décidément, rien n'est simple avec Anthony Vanden Borre. Son transfert à Genk a capoté en dernière minute. Au mieux, il ne pourrait rejoindre les Limbourgeois qu'en janvier 2011.
Anthony Vanden Borre est un cas à part dans le football belge. Incontestablement, le joueur a un talent d'enfer. Mais de mauvais choix successifs sont en train de plomber sa carrière qui s'annonçait pourtant tellement prometteuse. Encore qu'évidemment ces échecs sont relatifs. Il a tâté du Calcio et de la Premier League. Ce n'est déjà pas mal. Mais son talent annonçait davantage de succès sans doute.
Toujours sous contrat avec la Genoa, l'ancien espoir du Sporting d'Anderlecht a été tout l'été durant annoncé aux quatre coins de l'Europe. A Monaco, à Schalke et à Tel Aviv pour ne citer que les contacts les plus concrets. Alors qu'il était attendu à Tel Aviv pour signer un contrat, Vanden Borre a fait faux-bond en dernière minute pour prendre un avion en direction de Genk.
Hélas, si Vanden Borre trouva rapidement un terrain d'entente avec les leaders de la Jupiler League, le club italien auquel appartient encore le joueur a mis son grain de sel dans le dossier en réclamant une indemnité de transfert que Genk n'est pas disposé à payer. Résultat des courses, le transfert de l'ancien Diable Rouge n'a pu être réalisé avant la date butoir du 31 août.
Le voilà donc obligé de rentrer à Gênes Gros-Jean comme devant. Un beau gâchis.
Toujours sous contrat avec la Genoa, l'ancien espoir du Sporting d'Anderlecht a été tout l'été durant annoncé aux quatre coins de l'Europe. A Monaco, à Schalke et à Tel Aviv pour ne citer que les contacts les plus concrets. Alors qu'il était attendu à Tel Aviv pour signer un contrat, Vanden Borre a fait faux-bond en dernière minute pour prendre un avion en direction de Genk.
Hélas, si Vanden Borre trouva rapidement un terrain d'entente avec les leaders de la Jupiler League, le club italien auquel appartient encore le joueur a mis son grain de sel dans le dossier en réclamant une indemnité de transfert que Genk n'est pas disposé à payer. Résultat des courses, le transfert de l'ancien Diable Rouge n'a pu être réalisé avant la date butoir du 31 août.
Le voilà donc obligé de rentrer à Gênes Gros-Jean comme devant. Un beau gâchis.
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