Le White Star bat Liège sans trop de difficultés
Photo: © SC
Le Club de Liège était la bête noire de Felice Mazzu. Battus au match aller, le White Star a pris sa revanche sans forcer son talent.
Liège n'a jamais été ridicule dans ce match disproportionné entre l'un des leaders de la D3 et la lanterne rouge. Mais la partie s'est déroulée selon un scénario convenu, avec des Etoilés qui prirent la rencontre à leur compte, dominant, se créant des occasions, mais butant dans un premier temps sur un Roman Graczyk souvent bien placé. Ainsi Patrick Amoah vit un de ses tirs repoussé par le jeune gardien Sang et Marine.
Liège tentait valeureusement sa chance. Eric Deflandre à droite et Selemani à gauche essayant de porter le danger sur des contre-attaques devant les buts de Minsart. Mais sans succès. C'est plutôt les visités qui trouvèrent la faille sur un bel effort individuel de Damien Miceli qui servit Julien Guerenne sur un plateau (1-0).
En seconde mi-temps, les Bruxellois poursuivirent leur rencontre au petit trot et doublèrent la marque aux abords de l'heure de jeu sur un coup franc que Miceli déposa sur la tête de Sakanoko qui ne se fit pas prier pour inscrire le 2-0.
Cinq minutes plus tard, Bryssinck marqua le 3-0 et la messe était définitivement dite. En fin de rencontre, Iakovlevski faillit sauver l'honneur, mais il manqua de réussite dans son dernier geste.
Walfoot vous proposera lundi la video du match.
Liège tentait valeureusement sa chance. Eric Deflandre à droite et Selemani à gauche essayant de porter le danger sur des contre-attaques devant les buts de Minsart. Mais sans succès. C'est plutôt les visités qui trouvèrent la faille sur un bel effort individuel de Damien Miceli qui servit Julien Guerenne sur un plateau (1-0).
En seconde mi-temps, les Bruxellois poursuivirent leur rencontre au petit trot et doublèrent la marque aux abords de l'heure de jeu sur un coup franc que Miceli déposa sur la tête de Sakanoko qui ne se fit pas prier pour inscrire le 2-0.
Cinq minutes plus tard, Bryssinck marqua le 3-0 et la messe était définitivement dite. En fin de rencontre, Iakovlevski faillit sauver l'honneur, mais il manqua de réussite dans son dernier geste.
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