Mogi Bayat, étoile filante pour le White Star

Patrick Cuisinier
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Mogi Bayat, étoile filante pour le White Star
Photo: © SC

Les Woluwéens cherchent toujours une solution miracle. Bogi Bayat ne relèvera pas ce défi.

M. Farin peut interjeter appel le 18 avril auprès le la Commission des licences. Si elle est de nouveau refusée, une toute dernière possibilité s’offre à l’homme meurtri : la liberté de déposer sa requête à la COMMISSION D’ARBITRAGE POUR LE SPORT du COIB.

Ces délais auraient pu laisser du temps à M. Bayat pour éplucher son carnet d’adresses. Un million d’euros ne se trouve pas sous la patte d’un zèbre.

Il déclare que :« Je ne suis pas du tout intéressé par la reprise du White Star. Ni pour moi-même ni pour le compte d’un groupe d’investisseurs pour lequel j’interviendrais. J’ai simplement été contacté par la direction du club qui m’a signalé être à la recherche de solutions pour l’avenir du White Star. Je n’ai malheureusement pas le temps de m’occuper de ce dossier et je ne peux que souhaiter bon courage et bonne chance à l’ensemble du club. »

 MOGi aurait-il d’autres shahs (d’Iran) à fouetter ?

« Le White Star est proche du dépôt de bilan dans l'état actuel des choses, nous demanderons la mise en faillite du club dès la semaine prochaine... Un curateur décidera alors si nous terminerons ou non la saison"..C'est ce qu'affirme Michel Van Melkebeke, un administrateur du club.

Dans le  cas de non licence , malgré le gain de la première tranche afin d’éventuellement monter en D1, le White Star Woluwé descend en D3 avec un handicap de trois points au début du championnat. Si une faillite est déclarée ,va t on vers une P4 et Quid des jeunes ?

Dure réalité de la vie, l’espace d’une saison, les Etoilés auront brillé à l’image d’une étoile filante…

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