Enzo Scifo a été marqué par Guy Roux
Photo: © SC
L'ancien entraîneur hurlu s'est livré au site Fifa.com. Malgré les récents résultats, il croit en la nouvelle génération des Diables. Morceaux choisis.
Au sujet de la nouvelle génération des Diables : "Cette équipe a du talent mais il manque quelque chose : cet état d'esprit dont je viens de parler. Nous sommes passés à côté de la qualification, ça a été très difficile, mais avec la nouvelle génération, quelque chose a changé. D'ici deux ans, ils seront très performants."
Ses aventures en Coupe du Monde : C'était vraiment une belle aventure, mais tout avait mal commencé. Nous nous sommes qualifiés de justesse dans notre poule et l'atmosphère n'était pas bonne. Puis l'entraîneur (Guy Thys) a mis les choses au point, il a renvoyé au pays quelques joueurs et il y a eu ce déclic. Il y avait à partir de ce moment là une complémentarité excellente entre les joueurs, beaucoup d'envie et surtout de fortes personnalités qui ont poussé toute la sélection vers le haut. L'état d'esprit, voilà ce qui compte pour réussir dans le football. Quant à 1990, l'année dans son ensemble a été mon meilleur souvenir. D'abord avec Auxerre puis avec l'équipe nationale. C'est la meilleure équipe que nous ayons jamais eue en Belgique.
L'entraîneur qui l'a marqué : Guy Roux m'a marqué plus que les autres. Il gérait tout avec autorité et, en même temps, il arrivait à être très complice avec ses joueurs. C'est le seul que j'ai connu à avoir eu toutes ces qualités en même temps.
Sa propre carrière d'entraîneur : C'est un tout autre métier ! Je m'éclate à ce poste car je fais ça avec passion. Sur le banc, je suis un gamin qui découvre. Maintenant, c'est ma sixième saison en tant qu'entraîneur et je commence à sentir que je suis dans mon élément. Je ne me suis pas trompé !
Découvrez l'intégralité de l'interview sur fifa.com en cliquant ici.
Ses aventures en Coupe du Monde : C'était vraiment une belle aventure, mais tout avait mal commencé. Nous nous sommes qualifiés de justesse dans notre poule et l'atmosphère n'était pas bonne. Puis l'entraîneur (Guy Thys) a mis les choses au point, il a renvoyé au pays quelques joueurs et il y a eu ce déclic. Il y avait à partir de ce moment là une complémentarité excellente entre les joueurs, beaucoup d'envie et surtout de fortes personnalités qui ont poussé toute la sélection vers le haut. L'état d'esprit, voilà ce qui compte pour réussir dans le football. Quant à 1990, l'année dans son ensemble a été mon meilleur souvenir. D'abord avec Auxerre puis avec l'équipe nationale. C'est la meilleure équipe que nous ayons jamais eue en Belgique.
L'entraîneur qui l'a marqué : Guy Roux m'a marqué plus que les autres. Il gérait tout avec autorité et, en même temps, il arrivait à être très complice avec ses joueurs. C'est le seul que j'ai connu à avoir eu toutes ces qualités en même temps.
Sa propre carrière d'entraîneur : C'est un tout autre métier ! Je m'éclate à ce poste car je fais ça avec passion. Sur le banc, je suis un gamin qui découvre. Maintenant, c'est ma sixième saison en tant qu'entraîneur et je commence à sentir que je suis dans mon élément. Je ne me suis pas trompé !
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