Villano et les Da Silva poussés vers la sortie
Photo: © SC
Tubize écarte Vittorio Villano et les frères Da Silva. Aucun accord de séparation à l'amiable ayant été trouvé, l'AFC a déclaré ces joueurs indésirables aux entrainements du stade Leburton.
L'AFC Tubize a l'air de perdre totalement les pédales. Le navire coule et le capitaine noie ses matelots, serait-on tenté de dire. Les Brabançons pensaient pouvoir se séparer à l'amiable des trois anciens Standardmen à un prix d'ami, mais les joueurs n'ont évidemment pas été disposés à déchirer leurs contrats pour des clopinettes et à dire : "Allez! Salut! On n'en parle plus et bonne chance au club".
Alandson Da Silva et Vitto Villano disposaient en effet encore d'un an de contrat et Alex Da Silva de deux ans de contrat. Des contrats solides pour un club de D2. A moins d'une substantielle indemnité de départ, il était évident que les joueurs n'allaient pas jeter leurs contrats à la poubelle.
Aussi, pour faire pression sur eux, pour les exacerber, le club a décidé de non seulement les écarter du noyau A, mais également du noyau B. De fait, ils sont dorénavant exclus de tous les entrainements dispensés au stade Leburton. Or, pour un joueur de football, ne plus pouvoir s'entrainer, c'est une condamnation à mort à petit feu.
Les méthodes utilisées par l'AFC ressemblent de plus en plus à celles d'un club aux abois. L'impact sur le reste des joueurs du noyau A risque d'être catastrophique. Car à perdre son âme, on devient un club fantôme.
Alandson Da Silva et Vitto Villano disposaient en effet encore d'un an de contrat et Alex Da Silva de deux ans de contrat. Des contrats solides pour un club de D2. A moins d'une substantielle indemnité de départ, il était évident que les joueurs n'allaient pas jeter leurs contrats à la poubelle.
Aussi, pour faire pression sur eux, pour les exacerber, le club a décidé de non seulement les écarter du noyau A, mais également du noyau B. De fait, ils sont dorénavant exclus de tous les entrainements dispensés au stade Leburton. Or, pour un joueur de football, ne plus pouvoir s'entrainer, c'est une condamnation à mort à petit feu.
Les méthodes utilisées par l'AFC ressemblent de plus en plus à celles d'un club aux abois. L'impact sur le reste des joueurs du noyau A risque d'être catastrophique. Car à perdre son âme, on devient un club fantôme.
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