La classe biberon du FC Bruges évite la tragédie grecque

Par Florian Holsbeek

Battus à l'aller, les hommes de Michel Preud'homme savaient ce qu’il leur restait à faire : battre les grecs du Panathinaikos sans encaisser. Mais cela n’a pas été simple.

La faute à des joueurs adverses rugueux, assez rapides sur l’homme et qui se sont projetés vers l’avant de façon très rapide. Karelis, Berg ou encore Ninis ont mis Bruzzese en difficulté. Et c’est finalement avec un certain soulagement que Bruges a vu venir la mi-temps, se contentant d’une grosse occasion d’un Tom de Sutter très nerveux.

A la pause, l’entraîneur liégeois décide de placer son équipe en 3-5-2, laissant les flancs à Cools et à Dierckx. Changement tactique gagnant, car le premier ouvre le score sur un centre du deuxième (53’, 1-0). Quelques minutes plus tard, Vazquez double la mise sur un coup franc dévié (58’, 2-0).

Obbi Oularé, à peine entré au jeu, se chargera de donner au score son allure définitive. Cette rencontre n’a pas été simple, mais le FC Bruges se qualifie pour les Barrages de la Ligue des Champions. Avec du (très) lourd au programme.