Sans club, l'ex-coach de l'Union Luka Elsner espère retrouver les terrains rapidement : "J'espère refaire mon métier le plus vite possible"

Chafik Ouassal
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Sans club, l'ex-coach de l'Union Luka Elsner espère retrouver les terrains rapidement : "J'espère refaire mon métier le plus vite possible"

Le Slovène avait rejoint la France après son passage réussi sur le banc de l'Union en D1B lors de la saison 2018-19.

Luka Elsner débarquait du club de Pafos (Chypre) et portait l'Union vers une saison réussie, mais surtout vers un superbe parcours en coupe de Belgique, avec une victoire mémorable chez le voisin Anderlechtois (0-3) en 1/16e de finale.

Aujourd'hui, le Slovène est sans club depuis son départ d'Amiens. Le club avait été relégué suite à la fin prématurée de la Ligue 1 pour cause de coronavirus, et ce, à une dizaine de rencontres de la fin. Et après un début de saison poussif en Ligue 2, le club mettait un terme à sa collaboration fin septembre.

Sans club depuis, le jeune entraîneur patiente et s'est confié sur ses activités depuis qu'il a quitté Amiens, il remplit bien toutes ses journées et rattrape le temps perdu : "J’ai essayé de vite débuter d’autres projets que je n’avais pas eu le temps de faire ces dernières années. J'ai repris des cours d’allemand, je travaille sur une thématique football pour m’améliorer là où je pense avoir des carences, j’ai regardé beaucoup de matchs. Je suis occupé", confiait Luka Elsner lors d'un entretien accordé à Foot Mercato.

Une chose est sûre, le terrain manque à Luka Elsner : "Je pense que c’est comme toute passion. J’ai la chance d’en avoir fait mon métier. Il y a une forme d’obsession et donc dès qu’on arrête… J’ai un énorme manque à ce niveau-là. J'espère refaire mon métier et être au contact des joueurs et de la pelouse, revenir dans le processus d’entraînement le plus vite possible.

Le Slovène de 38 ans patiente désormais, et étudiera toutes les possibilités qui s'offriront à lui : "J'ai eu plusieurs discussions qui n’ont pas abouti, des discussions sur du moyen terme, mais pas sur du court terme. Ma préférence serait de rester en France ou un pays francophone. Mais j’essaye de m’ouvrir à un maximum de marchés. J’essaye de rester attentif et de me préparer à toutes éventualités, je ne suis pas en position de me dire que je n’accepte que le top du top. Il faudra accepter de faire un pas en arrière pour remonter la pente. Tout doit être mis sur la table et discuter."

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