Par superstition, le président argentin refuse de se rendre au stade pour la finale

Par superstition, le président argentin refuse de se rendre au stade pour la finale
Photo: © photonews

Alberto Hernandez ne veut prendre aucun risque pour son équipe.

A quelques heures de la grande finale, la tension commence à monter. Une tension qui a eu raison de la présence du chef d'état argentin Alberto Hernandez au stade Lusail aux côtés de son homologue français Emmanuel Macron. Ou plus précisément une certaine superstition, ouvertement assumée sur son compte Twitter : "Comme des millions de compatriotes, je vais profiter de la finale de la Coupe du monde à la maison. Je vivrai ce moment fantastique comme je l'ai fait jusqu'à maintenant, avec les miens. Les meilleurs des nôtres seront sur le terrain, et dans les tribunes de glorieux supporters. Et puis, les cabales sont les cabales" écrit-il, faisant référence aux "cabalas", des rites superstitieux très courants dans la culture locale, surtout en matuère de football.

Après être resté chez lui pour suivre les exploits de l'Albiceleste, le président entend faire de même pour ne pas casser la bonne dynamique de l'équipe et donner toutes les chances aux siens de remporter une première Coupe du Monde depuis 1986. En cas de victoire, Emmanuel Macron ne pourra donc pas le taquiner comme il l'avait fait avec la présidente croate il y a quatre ans.

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