Le CEO de l'Union, Philippe Bormans, répond sèchement aux accusations de la presse flamande

Le CEO de l'Union, Philippe Bormans, répond sèchement aux accusations de la presse flamande
Photo: © photonews

Christia Burgess est finalement autorisé à jouer contre Anderlecht. Tout est bien qui finit bien pour l'Union, mais pour le PDG Philippe Bormans, ce furent des journées agitées.

Philippe Bormans est revenu une nouvelle fois sur cette affaire dans une interview accordée à Sudpresse. Ses contacts avec le procureur fédéral et d'autres personnes au sein de l'Union Belge de Football ont été examinés. "Je suis accusé de tentative d'influence par une personne, un journaliste. Je ne sais pas pourquoi ni pour quel motif, car il ne m'a jamais contacté."

Bormans ne nomme pas la personne en question, mais il est clair qu'il s'agit de Peter Vandenbempt, journaliste de Sporza, qui avait émis de vives accusations à l'encontre de l'Union et de son CEO. 

Bormans droit dans ses bottes

Aucun dossier n'a été ouvert contre lui, souligne Bormans. "C'était frustrant car je ne pouvais rien dire pour me défendre. Nous devions garder tous nos arguments pour la réunion du Comité Disciplinaire." Mais n'est-il pas vrai qu'il a utilisé son influence pour obtenir l'éligibilité de Burgess, comme le suggère Vandenbempt ?

"Samedi, j'avais trois versions différentes : un mail du procureur fédéral, le règlement de l'Union et le système  en ligne où Burgess était indiqué en rouge. Il était normal d'essayer de comprendre ce qui se passait".

"J'ai demandé à Piet Vandendriessche (PDG de l'Union belge de football, ndlr) de me contacter rapidement car je voulais savoir à qui m'adresser. Nous n'avons même pas abordé le sujet en lui-même. Il m'a donné les coordonnées des personnes que je pouvais contacter. Et c'est ce que j'ai fait."

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