"Ils m'ont raconté n'importe quoi" : la première grosse colère de la CAN a un accent belge
Photo: © photonews
Suis Walfoot dès à présent sur Instagram!
Hugo Broos ne décolère pas après la défaite de l'Afrique du Sud contre l'Égypte . Il s'est présenté ulcéré en conférence de presse.
Le désarroi est grand chez les Bafana Bafana. L'Afrique du Sud s'est inclinée par le plus petit écart face à l'Égypte. C'est un penalty particulièrement litigieux qui a fait la différence en fin de première mi-temps. Vu la physionomie de la rencontre, toute l'attention se concentre sur ce penalty.
"Avant toute chose, je voudrais parler de la réunion qui a eu lieu avant ce tournoi. Pendant 45 minutes, ils ont parlé des règles. 25 règles, 50 règles. Ils ont expliqué ce qui constitue une faute et ce qui n'en est pas une. Et quand il y a un carton rouge et quand il n'y en a pas. À la fin, il y a tellement de règles que personne ne sait vraiment comment tout cela fonctionne", a commencé Broos en conférence de presse, cité par Het Laatste Nieuws.
Quelle cohérence ?
L'entraîneur belge n'en croit pas ses yeux : "Regardez ce premier penalty. Même Mo Salah m'a dit après le match qu'il était surpris qu'un penalty soit accordé pour ça. C'était ridicule. Vraiment ridicule".
Il était d'autant plus en colère que son équipe s'est vue refuser un penalty qui semblait plus flagrant dans le temps additionnel : " Lors de la réunion, ils ont dit que si le bras est tendu loin du corps, c'est penalty. Le bras était tendu, donc c'était penalty. Mais ils m'ont raconté n'importe quoi, que c'était le bras d'appui. Qui a inventé ça ? Le bras était tendu et le ballon l'a touché. C'était penalty".
Lire aussi… Salah en héros : Hugo Broos met en avant les failles de l'Égypte pour Rudi Garcia mais repart frustré›
Deux verdicts qui pèsent lourds : dépassée par les Pharaons à la première place, l'Afrique du Sud doit gagner contre le Zimbabwe pour s'extirper de la phase de groupe. Sinon, il faudra potentiellement sortir les calculettes devant Angola-Égypte.
Inscrivez-vous maintenant à la newsletter de Walfoot