L'International Board va-t-il bouger ?
Photo: © SC
Dimanche noir pour le football mondial. Deux erreurs d'arbitrage ont à nouveau mis en avant l'utilité de l'assistance video. Mais cette fois, l'Angleterre est touchée de plein fouet et cela pourrait faire bouger les choses !
Le but refusé à Frank Lampard face à l'Allemagne n'a pas encore fini de faire parler de lui ! Fabio Capello, l'entraîneur italien de l'équipe à la Rose, n'en revient toujours pas et n'a pas dormi de la nuit. L'histoire joue un vilain tour aux Anglais 44 ans après le but accepté de Geoffrey Hurst face aux mêmes Allemands en finale de la Coupe du Monde à Wembley.
La FIFA est dépendante de l'International Board pour modifier les règles du jeu. Assez conservatrice, cette dernière pourrait faire un pas en avant en raison de l'implication de l'Angleterre dans les matches disputés dimanche. En effet, les nations représentant le Royaume-Uni comptent quatre représentants parmi les huit membres de l'International Board.
Or, il faut 75 % des voix pour modifier une règle des lois du jeu. Avec ses 50 %, le Royaume-Uni est maître du jeu à ce sujet. L'assistance-video, demandée à maintes reprises, pourrait à nouveau être mise sur le tapis et recevoir enfin une issue favorable.
La FIFA est dépendante de l'International Board pour modifier les règles du jeu. Assez conservatrice, cette dernière pourrait faire un pas en avant en raison de l'implication de l'Angleterre dans les matches disputés dimanche. En effet, les nations représentant le Royaume-Uni comptent quatre représentants parmi les huit membres de l'International Board.
Or, il faut 75 % des voix pour modifier une règle des lois du jeu. Avec ses 50 %, le Royaume-Uni est maître du jeu à ce sujet. L'assistance-video, demandée à maintes reprises, pourrait à nouveau être mise sur le tapis et recevoir enfin une issue favorable.
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