Le point sur le transfert de De Camargo à El Arabi

Même si le dénouement est positif du côté du Standard, "l'affaire De Camargo" ne va certainement pas réconcilier les supporters avec Roland Duchâtelet. Pour rappel, le président du Standard a accepté que l'attaquant brésilien se rende, cette semaine, au Qatar. La raison communiquée par le Standard : des négociations, pour un transfert vers El Arabi, en juin, en vue de diminuer la masse salariale du club.

Un départ en été ou cet hiver?

Le jour du voyage du Brésilien au Qatar, la DH semblait en mesure d'affirmer que le club d'El Arabi, où le mercato n'est pas encore terminé, était prêt à s'offrir les services de De Camargo dès cet hiver. Il a même été imaginé que le transfert ait été décidé en même temps que le retour d'Ezekiel. 

Venanzi-Lawarée ont dû convaincre Duchâtelet

Consient que vendre De Camargo, malgré son salaire important, serait équivalent au fait de se tirer une balle dans le pied, le duo Venanzi-Lawarée aurait convaincu Duchâtelet de ne pas vendre son meilleur attaquant, qui plus est sans disposer de profil susceptible de le remplacer. 

Un remplaçant sans contrat mais pas assez convaincant

Ce mardi, la DH a rapporté de nouvelles informations. Dés le début, la vente de De Camargo aurait été conditionnée par la venue d'un nouvel attaquant, libre de tout contrat. "La solution proposée au Standard se nommait José 'Henrique' Da Silva Dourado. Mais après analyse, il a été jugé que l'attaquant brésilien ne pouvait constituer une solution valable dans l'immédiat", écrit le média belge.  

L'intervention de Bruno Venanzi et d'Axel Lawarée auprès de Duchâtelet aurait donc été aidée par un "test" manqué. Une chose est sûre, Roland Duchâtelet semble bien s'entendre avec son homologue d'El Arabi.