La Pro League va au clash avec l'Union belge à propos de l'arbitrage

La Pro League va au clash avec l'Union belge à propos de l'arbitrage
Photo: © photonews

La Pro League a tenu sa première Assemblée Générale de la saison avec l'arbitrage et l'Union belge au centre des débats.

L'Union belge (URBSFA) et le département d'arbitrage ont joué cavalier seul le 22 mai en proposant un nouveau plan à l'insu de la Pro League. Cette dernière n'était pas "amusée" parce qu'elle avait perdu le contrôle du corps arbitral et qu'il n'y avait plus de siège dans l'administration.

Encore plus de coûts

En outre, les coûts ont considérablement augmenté en raison du statut des arbitres devenus semi-professionnels et de l'introduction du VAR. L'URBSFA a mis une grande partie de ses dépenses sur le dos de la Pro League. Ce qui n'est pas bien passé.

"Actuellement, les clubs de D1A paient déjà 136.000 euros pour 20 matches à domicile, et en D1B le montant est de 27.710 euros. Nous prenons en charge le coût de la ligne virtuelle de 200.000 euros et le statut des arbitres coûte 430.000 euros", a déclaré le directeur général de la Pro League, Pierre François.

Contre-proposition

Ce serait maintenant bien plus… "Nous avons formulé une contre-proposition et espérons qu'elle sera acceptée. De plus, nous voulons un organe de contrôle qui examine la qualité et le fonctionnement des arbitres. En tant que client, nous souhaitons avoir le contrôle sur les choses que nous payons", a poursuivi Pierre François.

Une situation plutôt complexe. La Pro League souhaite que l'Union belge et son CEO, Peter Bossaerts, ajoutent de l'eau dans leur vin. Et l'Union belge souhaite que le département des arbitres puisse travailler en toute indépendance. "Mais nous payons, nous voulons du contrôle", a conclu le CEO de la Pro League.

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