Et si l'affaire Rooney n'était qu'un show....
Photo: © SC
Wayne Rooney ceci, Wayne Rooney cela. Wayne Rooney veut partir. Man U ne pourra sans doute pas le retenir. Et si tout ça n'était qu'un paravent qui cache une opération financière inévitable.
Liverpool et Manchester ont de nombreux points communs. Clubs de légende, clubs mythiques, ils sont tous deux gérés par des consortiums américains qui se sont royalement planté dans la gestion de leurs clubs de football. Ils se sont fourvoyé, mais ils ont également plongé leurs clubs dans un rouge encore plus rouge que leurs maillots.
Ainsi, Manchester United se retrouve déficitaire depuis des années, avec une dette phénoménale à la clé (plus de 800 millions d'euros). La seule charge de la dette s'élève à plus de 90 millions par an. Elle avait poussé les Red Devils à devoir vendre Cristiano Ronaldo. Et aujourd'hui, le couteau sur la gorge, ils n'ont d'autre choix que de devoir se séparer de Wayne Rooney, le seul joueur susceptible d'amener suffisamment d'argent que pour pouvoir faire face aux prochaines échéances financières.
Mais le commerce est affaire de bluff. Et il est évident qu'on n'obtient jamais le meilleur prix en proclamant qu'on a un besoin urgent d'argent.
Alors, le show et les humeurs de Wayne Rooney ne seraient-ils pas tout simplement orchestrés par un Man U reconverti en batteleur de foire commerciale?
Ainsi, Manchester United se retrouve déficitaire depuis des années, avec une dette phénoménale à la clé (plus de 800 millions d'euros). La seule charge de la dette s'élève à plus de 90 millions par an. Elle avait poussé les Red Devils à devoir vendre Cristiano Ronaldo. Et aujourd'hui, le couteau sur la gorge, ils n'ont d'autre choix que de devoir se séparer de Wayne Rooney, le seul joueur susceptible d'amener suffisamment d'argent que pour pouvoir faire face aux prochaines échéances financières.
Mais le commerce est affaire de bluff. Et il est évident qu'on n'obtient jamais le meilleur prix en proclamant qu'on a un besoin urgent d'argent.
Alors, le show et les humeurs de Wayne Rooney ne seraient-ils pas tout simplement orchestrés par un Man U reconverti en batteleur de foire commerciale?
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