Vermeersch: "Je ne suis pas l'unique responsable"
Le tour final définitivement envolé, le président du FC Brussels a fait le point.
Le Brussels prolongera son bail pour une année supplémentaire en Division 2. Il ne reste en effet plus aucun espoir pour le club de rejoindre le tour final.
L'heure est donc d'ores et déjà au bilan à l'issue du campagne qui est à considérer comme ratée à Molenbeek.
"J’aimerais me débarrasser de l’image qui me montre comme unique responsable en matière de transferts", a déclaré le président Vermeersch sur le site Internet du club. "Il est vrai que c’est moi qui, en fin de compte, appose ma signature sur les documents de transferts et sur les contrats. Mais, comprenez bien que chaque entraîneur ayant travaillé ici a pu, plus souvent qu’à son tour, donner son avis sur la politique de transfert du club. Je ne veux pas pour autant rejeter toute la responsabilité sur d’autres personnes, j’ai bien évidemment également fait des erreurs."
Après le match face au Lierse, le président se laissa aller à des déclarations qui ont fait beaucoup de bruits, avançant que seuls les machines à laver pouvaient rester au Machtens.
"J’ai, en effet, proclamé quelque chose de ce genre après la rencontre contre le Lierse. Mais, rien n’a été décidé entre-temps ! Nous allons d’abord constater les dégâts, en faire une évaluation et, ensuite, en débattre tous ensemble."
L'heure est donc d'ores et déjà au bilan à l'issue du campagne qui est à considérer comme ratée à Molenbeek.
"J’aimerais me débarrasser de l’image qui me montre comme unique responsable en matière de transferts", a déclaré le président Vermeersch sur le site Internet du club. "Il est vrai que c’est moi qui, en fin de compte, appose ma signature sur les documents de transferts et sur les contrats. Mais, comprenez bien que chaque entraîneur ayant travaillé ici a pu, plus souvent qu’à son tour, donner son avis sur la politique de transfert du club. Je ne veux pas pour autant rejeter toute la responsabilité sur d’autres personnes, j’ai bien évidemment également fait des erreurs."
Après le match face au Lierse, le président se laissa aller à des déclarations qui ont fait beaucoup de bruits, avançant que seuls les machines à laver pouvaient rester au Machtens.
"J’ai, en effet, proclamé quelque chose de ce genre après la rencontre contre le Lierse. Mais, rien n’a été décidé entre-temps ! Nous allons d’abord constater les dégâts, en faire une évaluation et, ensuite, en débattre tous ensemble."
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