Journal du Brésil jour 1: les Écossais, scooters dangereux et la folie du Mondial

James Odvart
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Journal du Brésil jour 1: les Écossais, scooters dangereux et la folie du Mondial
Photo: © SC

Voetbalkrant.com/Walfoot.be suit tout le Mondial de très près. A partir d'aujourd'hui, vous pouvez lire chaque jour les histoires intéressantes et les nouvelles en temps et en heure sur notre site spécial (wc.walfoot.be) via notre journal du Brésil.

Sander De Graeve à Sao Paulo

Arrivés à l'aéroport de Sao Paulo, nous avons remarqué que la Coupe du Monde est partout. Le terminal résonne de partout avec des supporters en provenance des quatre coins du monde. Nous avons rencontre directement des Ecossais qui, pour combler l'absence de leur pays au Mondial, supporteront les Diables.

"Qui va gagner? Nous pensons que le Brésil va l'emporter.", selon Kraig Vass. "Nous encouragerons les Belges et nous espérons qu'ils iront loin. Un des Ecossais l'a prouvé en arborant un maillot belge sorti directement de sa valise.

Les sympatiques Ecossais n'ont pas encore de tickets pour les rencontres. "Nous espérons encore en obtenir, sinon nous irons suivre les matchs dans les Fan Fests. "Les membres de la Tartan Army seront là pour mettre le feu et nous irons boire de la bière pendant les matchs, cela s'annonce sympa."

Un peu plus loin, Voetbalkrant.com a rencontré un groupe d'Australiens croyant également aux chances des Diables. "Vous êtes outsiders. Nous n'avons aucune chance lors du premier tour, mais nous allons tout de même nous amuser."

Finalement sorti de l'aéroport, les bagages d'un collègue étant restés plus longtemps à Miami, nous avons été frappés par l'enthousiasme des Brésiliens pour le Mondial malgré les protestations. Les employés dans les magasins circulent en jaune et vert et il est possible de circuler dans les rues sans voir un maillot de Neymar, David Luiz, Oscar et compagnie. Cela donne l'impression que chaque entreprise dans ce pays a une sorte d'accord avec l'équipe nationale.

Encore un détail surprenant: la circulation déjantée. Nous devons nous méfier de ces 'fous' (nous allons les appeler ainsi), car on dirait qu'ils font une compétition de passer entre les voitures à toute vitesse.

Encore un exemple de la folie du Mondial au Brésil. Les employés dans les magasins terminent plus tôt lors d'un match du Brésil. Ce supermarché ferme déjà ses portes à 16 heures. Voilà, c'est ainsi que se termine notre premier journal de bord du Mondial. Nous n'avons pas dépassé le périmètre de l'aéroport jusqu'à l'hôtel. Vous pourrez lire les prochaines semaines sur Walfoot.be les anecdotes du Brésil à travers les yeux de la rédaction. Amanhã!

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