Un Toulousain à Virton

"Lors de la première réunion technique, Philippe Petit, l’entraîneur des espoirs, a demandé aux autres ce que je foutais là, avant de se tourner vers moi en disant: «Mais pourquoi tu viens en Belgique, tu as tout ce qu’il faut en France »" rigole Marco dans L’Avenir.

"Tout le monde a bien rigolé. C’est certains qu’ils ont dû se dire que j’étais un foufou, puis ils se sont rendu compte que j’étais un passionné."

La post-formation

À Virton, Médéric Marco s’occupe des jeunes… mais pas trop. "Je préfère travailler à la post-formation. J’apprécie avoir des joueurs avec déjà un peu de maturité, avec qui il est plus facile d’échanger, de donner des responsabilités."

"Quand ils m’ont parlé des U19, j’étais évidemment très content, d’autant plus qu’il s’agit d’une catégorie que je n’avais jamais entraîné."