Roger Schmidt, l'entraîneur de Benfica, reste mystérieux sur son accolade avec Roman Yarmechuk en fin de match

Outre l'importance de l'événement, ce huitième de finale de Ligue des Champions entre le Club de Bruges était spécial pour Roman Yaremchuk. L'attaquant affrontait en effet son ancienne équipe, quittée contre 17 millions l'été dernier, soit la somme déboursée par les Portugais pour le transférer de La Gantoise un an plus tôt. En cruel manque de confiance, il n'a pas décollé du banc, regardant ses anciens coéquipiers jouer face à une équipe brugeoise sans numéro neuf.

A l'issue de la rencontre, on l'a vu longuement s'entretenir à même la pelouse avec Roger Schmidt, qu'il a cotoyé quelques semaines en début de saison (pour aucune titularisation). Interrogé par la presse portugaise, le technicien allemand n'a pas voulu révéler la teneur de leurs discussion : "Ma conversation avec Yaremchuk ? C'est privé. J'étais très heureux de le revoir. C'est un grand joueur, j'ai aimé travailler avec lui et il a déjà montré sa qualité à Bruges. Je lui souhaite bonne chance, il nous souhaite bonne chance, nous avons une bonne relation".