"Christian Burgess, il peut parfois être un connard" : un concurrent ne mâche pas ses mots concernant le joueur de l'Union
Photo: © photonews
Hein Vanhaezebrouck est un mauvais perdant, personne n'a pu le manquer. L'entraîneur de La Gantoise s'inspire cependant de deux concurrents, qui ont parfois une mauvaise étiquette collée sur le front, mais qui reçoivent toute son admiration.
En tournée dans les médias belges pour son 60e anniversaire, Hein Vanhaezebrouck était l'invité de l'émission "Sur le grill" de la RTBF. L'entraîneur de La Gantoise a, notamment, évoqué la course au titre et la première place occupée par l'Union.
Le T1 Buffalo a également été interrogé sur son pire défaut, dont personne ne doutait. "Mon plus gros défaut ? Je ne sais pas perdre. Ce fut le cas dès mon enfance et c'est encore le cas aujourd'hui. Hans Vanaken a été critiqué chez vous, mais c'est un vrai gagneur !", lance Vanhaezebrouck, en référence aux propos d'Alexandre Boucaut sur le joueur du Club de Bruges.
Pour gagner, il faut parfois être un connard
On le comprend rapidement, Vanhaezebrouck est un petit peu "jaloux" du fighting-spirit proposé chez les concurrents. Le doyen des entraîneurs belges de notre championnat ne mâche pas ses mots.
"Christian Burgess, à l'Union, il peut parfois être un connard, mais quel battant ! Moi aussi, quand je perds un match, je reste respectueux et salue l'adversaire, puis je pars tout de suite. Je ne vais pas faire de cinéma inutile : je déteste perdre !"
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