🎥 Ils jouaient au Stade Yvan Georges de Virton et rêvent du Camp Nou : Guillaume François et Anthony Moris de retour dans leur Luxembourg natal

🎥 Ils jouaient au Stade Yvan Georges de Virton et rêvent du Camp Nou : Guillaume François et Anthony Moris de retour dans leur Luxembourg natal

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En ce début de semaine, le football luxembourgeois décernait son Soulier d'or provincial. Guillaume François et Anthony Moris étaient présents pour l'occasion.

Les deux joueurs de l'Union Saint-Gilloise faisaient partie du gratin provincial pour cette soirée de gala. Ils ne sont pas encore redescendus de leur nuage : "On en rêve depuis qu'on est gamins, c'est beau de le faire sur la fin de carrière. Finalement, tous les plus beaux trophées de Belgique, on les a pris. Ca a été une saison longue et compliquée, mais je pense que ce statut d'outsider a fait la différence. On ne s'est pas pris la peine et on a sorti des Playoffs incroyables", explique Guillaume François à TV Lux.

Anthony Moris le rejoint : "C'est beaucoup d'émotions d'être sur le toit du football belge. C'est la consécration d'un travail acharné, surtout mené dans l'ombre. On a toujours cru en nous, on savait qu'on pouvait terminer le plus haut possible. On connaît le système des Playoffs en Belgique : il suffit d'être dans les six premiers et après, c'est un nouveau championnat qui commence".

Compagnons de galère...et de succès

Avant de rejoindre l'Union en 2020, Moris (natif d'Arlon) et François (Libramont) évoluaient ensemble à Virton, ils y ont connu la Nationale 1 et la montée en D1B. Que de chemin parcouru ! "Je ne vois pas ça comme une revanche mais comme un accomplissement, on a vécu de beaux moments. Quand on me parle du retour à Virton, ce sont également de beaux moments qui reviennent en tête. Connaître ce football, ça a été une expérience incroyable, on finit tout au-dessus avec cette qualification pour la Ligue des Champions qui fait rêver tous les gamins", explique François.

Moris voit les choses de la même manière : "Si aujourd'hui, je lui l'homme et le joueur que je suis, c'est aussi grâce à mon parcours. Certains ont des autoroutes vers le succès, d'autres prennent les routes secondaires, je crois que ça a été mon cas. Mais aujourd'hui, je suis là où je veux être, et j'espère encore perdurer".

Cinq ans après les ambiances feutrées de la troisième division, ils se mettent à rêver pour les affiches à venir en Ligue des Champions : "Moi je veux des beaux stades, des ambiances de feu. J'aime bien l'Italie, je pense que Naples et l'Inter Milan me combleraient de bonheur. Mais Marseille, Dortmund ou l'Atletico Madrid, tout en tirant un gros à la maison, ce serait vraiment bien", sourit Moris. Son compère est catégorique : "Barcelone en un, Manchester United en deux"...avant de se rendre compte que les Red Devils ne sont pas qualifiés.

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