"Je ne me fais pas de souci" : Laurent Ciman reste optimiste à propos de la nouvelle génération belge

"Je ne me fais pas de souci" : Laurent Ciman reste optimiste à propos de la nouvelle génération belge
Photo: © photonews
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Laurent Ciman s'est exprimé sur la nouvelle génération de la Belgique. L'ancien Diable Rouge est optimiste, mais précise qu'il faudra être patient.

"Je pense qu’il faut leur laisser le temps", souligne-t-il au micro de Sudinfo. "Ils sont jeunes et ça n’a pas été facile entre la succession de Martinez avec Tedesco et les problèmes avec certains cadres. Avec Rudi Garcia, ils sont revenus dans une sérénité avec un certain équilibre."

Selon lui, cela ne sert à rien de comparer avec la génération précédente : "Je ne me fais pas de souci, il faut juste arrêter de comparer avec les années précédentes."

L'ancien joueur a également donné son avis sur le nouvel entraîneur, Rudi Garcia : "Il a connu pas mal de joueurs belges dans ses clubs. Et j’imagine que s’il a réussi à gérer un gars comme Eden, il arrivera à gérer l’équipe nationale belge (rires)." 

Prochain défi, le Pays de Galles

Lundi, les Diables Rouges se déplaceront à Cardiff. Ils y affronteront le pays de Galles dans une rencontre déjà importante en vue d'un billet direct pour le prochain Mondial. Le pays de Galles, Laurent Ciman s’en souvient bien. Lors de l’Euro 2016, Marc Wilmots ne lui avait pas laissé sa chance : "J’ai mûri, j’ai grandi, je suis passé aussi de l’autre côté de la barrière en étant assistant-coach. Donc j’imagine l’impression qui était la sienne, j’imagine aussi les décisions qu’il devait prendre et, à l’époque, il a fait ce choix de faire jouer quelqu’un d’autre. Malheureusement pour lui, ça n’a pas été le bon choix. Après, c’est facile à dire."

"Si j’avais commencé le match, peut-être qu’on l’aurait perdu aussi. Mais par rapport à ce que j’avais fait, par rapport à mon comportement sur et en dehors du terrain, je méritais cette place, donc ça m’a fait du mal de ne pas jouer. C’est comme ça, c’est la vie. Aujourd’hui, je n’en tiens pas rigueur à Marc ou à qui que ce soit. Un coach doit faire des choix, parfois pas évidents. Parfois tu réussis, parfois tu te trompes", conclut-il toujours au micro de Sudinfo.

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