Il n'y a pas que Poco et Mirallas : Monaco a aussi chipé l'arme secrète de l'Union depuis 5 ans
Photo: © photonews
Suis Walfoot dès à présent sur WhatsApp !
Monaco a fait mal à l'Union Saint-Gilloise en allant piocher dans son staff durant la trêve. Arthur Kopyt a lui aussi signé sur le Rocher.
Ce samedi, l'Union Saint-Gilloise va disputer son premier match sans Sébastien Pocognoli sur son banc. Outre son entraîneur à succès, la direction a aussi perdu son binôme Kévin Mirallas, lui aussi parti à Monaco. L'ancien Diable Rouge a fait un bien fou aux attaquants du groupe, parvenant à faire passer des paliers à presque chacun d'eux.
Et ce n'est pas tout : dans l'ombre du duo, un autre homme a également quitté Saint-Gilles pour la Principauté. Arthur Kopyt avait beau travailler dans la discrétion, son rôle n'en était pas moins crucial dans le staff.
Le Polonais de 40 ans (avec Sébastien Pocognoli sur la photo principale) est l'homme qui se chargeait des phases arrêtées offensives et défensives de l'Union. Et vu tout ce que ce secteur de jeu a apporté à l'équipe, son importance dans les succès des dernières années n'est pas négligeable.
L'une des armes principales de l'Union
Cela s'est révélé de manière encore un peu plus spectaculaire cette saison. Si l'Union trône en tête du classement malgré un jeu encore brouillon, c'est notamment dû à ces phases arrêtées. Les joueurs touchent une prime de 500 euros à chaque but marqué de la sorte (avec également un malus en cas de but encaissé). Et depuis quelque temps, les fins de mois sont bien arrondies.
Il n'y a qu'à se rappeler cette victoire 2-3 à La Gantoise où l'Union a pris trois buts d'avance grâce à trois phases arrêtées. Ce n'est pas pour rien que Christian Burgess, régulièrement trouvé en deuxième zone, est le meilleur donneur d'assist de l'équipe avec Ousseynou Niang.
Arthur Kopyt travaillait à l'Union depuis cinq ans. Malgré le départ des entraîneurs saisons après saisons, le Polonais est resté, travaillant aux côtés de Felice Mazzu, Karel Geraerts, Alexander Blessin et Sébastien Pocognoli. Mais cette fois, la tentation de partir était trop grande. C'est Chris O'Laughlin (qu'il avait connu durant sa modeste carrière de joueur en Irlande) qui avait eu le nez fin en le faisant venir au club.
Inscrivez-vous maintenant à la newsletter de Walfoot